«Je ne pense pas que cela aurait dû être tenu secret. Je pense que les Américains peuvent accepter, s'ils en sont informés, le fait que chaque fois qu'ils prennent le téléphone cela sera écouté et ira au gouvernement. Je pense que le public peut comprendre ça. Je ne vois pas de raison pour laquelle ce programme était placé dans la catégorie secrète. Deuxièmement, si vous écoutez (Edward) Snowden, il laisse entendre qu'il y a des actes répréhensibles... Quelle sorte de supervision y a-t-il au sein de la NSA pour prévenir les abus?»

- Ray Kelly, chef de police de New York, critiquant le manque de transparence des programmes de surveillance du gouvernement fédéral quelques jours après que l'administration Obama et le ministre de la Justice Eric Holder ont ulcéré les autorités new-yorkaises en appuyant l'idée d'une supervision fédérale du NYPD en raison de son programme controversé «stop-and-frisk».