Après avoir dansé hier soir le tango à Buenos Aires, une action qui lui a été reprochée par certains aux États-Unis en raison des attentats de Bruxelles, Barack Obama a exprimé aujourd'hui des regrets pour la politique des États-Unis à l'égard de l'Argentine à l'époque de la «guerre sale», nom donné à la répression systématique et massive de l'opposition durant la dictature militaire (1976 à 1983).

À souligner qu'Obama a été un peu forcé à danser le tango par une danseuse professionnelle qui venait de s'exécuter devant loi, alors que son discours d'aujourd'hui était planifié - et destiné à améliorer l'image des États-Unis en Amérique latine. Les critiques républicaines ne sauraient tarder.