La présumée attaque chimique lancée en banlieue de Damas le 21 août, qui aurait fait jusqu'à 1300 morts, est attribuable selon l'opposition syrienne et la vaste majorité de la communauté internationale aux hommes d'Assad. Seul l'éternel soutien du régime alaouite qu'est Moscou semble appuyer la thèse de Damas qui rejette la responsabilité de cette frappe non conventionnelle sur la rébellion. Mais si Assad se cache derrière ce massacre, quelles raisons peuvent expliquer un tel agissement au moment même où le gouvernement syrien vient d'autoriser les inspecteurs de l'ONU à venir enquêter sur lesdites armes chimiques?

Selon le quotidien français Le Figaro, un premier élément de réponse pourrait résider dans l'avancée depuis la mi-août de troupes d'élite rebelles vers la capitale syrienne, encadrées et formées par des commandos jordaniens, israéliens et américains.

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