En tout cas, c'est le terme qu'emploie aujourd'hui la chroniqueuse Andrea Peyser, du New York Post, dans cet article qui dénonce les efforts déployés par la diva afin d'adopter un deuxième enfant du Malawi. Je cite dans le texte des extraits de la chronique de Peyser pour ne rien perdre de son ton de bitch des ligues majeures (suit une traduction en français) :

THE baby monster must be stopped! Stuck in a midlife crisis, Madonna is hoping to soothe the pain of being 50, manless and well past her freshness-expiration date by taking home a Third World daughter to match the last baby she bought like a human trinket.

Recently divorced for the second time, and accompanied by three children who should be in school -- and not advancing Madonna's pathetic cry for help -- she has traveled to the African nation of Malawi.

There, she's desperately seeking new ways to find attention and affection not seen since the time she simulated intercourse onstage and publicly tongue-kissed a young Britney Spears -- in front of her daughter, Lourdes.

Et voici la traduction de Babouleine, une nouvelle collaboratrice :

Il faut arrêter ce monstre, cette voleuse de bébés! En pleine crise de la cinquantaine, Madonna tente désespérément d'oublier son âge, son célibat forcé et sa jeunesse envolée en ramenant au bercail une petite fille du tiers-monde pour tenir compagnie au dernier bébé qu'elle a acheté comme une vulgaire babiole humaine.

Récemment divorcée de son deuxième mari et accompagnée de trois enfants qui devraient être assis sur les bancs d'école au lieu de participer à cette pathétique croisade, elle foule maintenant le sol de la nation africaine du Malawi.

C'est là le nouveau moyen qu'elle a trouvé pour attirer l'attention et la sympathie des gens depuis qu'elle a jadis simulé l'acte sexuel sur scène et embrassé à bouche-que-veux-tu la jeune Britney Spears en public... et devant sa fille Lourdes.