Matelas Bonheur, entreprise familiale du Grand Montréal depuis 1986, a déployé toute son expertise pour développer sa propre marque de « matelas dans une boîte » et mieux servir sa clientèle partout au pays, avec le matelas JUMP. En plus de son prix accessible et de la possibilité de le commander en ligne comme en magasin, ce modèle innovant est fait d'une mousse plus performante, de fabrication 100 % canadienne. Survol d'un produit d'ici qui promet de changer les règles du jeu dans l'industrie du sommeil.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

Facile à transporter, économique à livrer

Après avoir été compressé et roulé, un matelas JUMP occupe peu d'espace et peut être expédié par la poste régulière, à moindre coût et n'importe où au pays. « C'est ce qui rend le produit si abordable - on parle d'environ 400 $ à 1 400 $, selon le modèle et la taille », explique Valérie Bachand, chef de marque chez Matelas Bonheur. L'emballage compact simplifie la manipulation une fois sur les lieux. « Même pour un matelas format très grand lit, le Jump est facile à déplacer dans les escaliers et à faire passer dans l'encadrement d'une porte. »

Mieux que la mousse mémoire

Utilisée depuis une vingtaine d'années, la mousse-mémoire n'est pas sans défauts. « C'est une technologie dépassée : la mousse-mémoire absorbe la chaleur du corps et devient inconfortable, et en plus, il lui faut un certain temps pour reprendre sa forme », observe Anthony Lionetti, directeur marketing. Matelas Bonheur privilégie plutôt sa propre recette de mousse à reprise rapide JUMP-AIR. « Notre produit conserve une température neutre et réagit plus rapidement aux mouvements pour mieux soulager les points de pression », précise M. Lionetti.

Un matelas 100 % canadien

L'achat local fait partie des valeurs corporatives de l'entreprise familiale Matelas Bonheur et le choix des fournisseurs n'y fait pas exception. « Toutes les matières utilisées pour fabriquer nos matelas JUMP proviennent du Canada, où la qualité de la main-d'oeuvre et des matériaux est constante », précise Valérie Bachand. Ces normes de fabrication élevées confèrent aux matelas JUMP la certification CertiPUR, qui confirme qu'ils sont exempts de produits chimiques nocifs.

Essayez avant de commander

Dans n'importe quel magasin Matelas Bonheur, il est possible de faire l'essai des deux modèles : la version JUMP7 (contenant 7 po de mousse) et JUMP9 (pour 9 po de mousse. « On peut comparer les matelas entre eux ou à d'autres technologies du marché, pour s'assurer de faire le bon choix », suggère Valérie Bachand. Elle ajoute qu'en boutique, les clients peuvent profiter de l'accompagnement des conseillers spécialement formés en posture et en sommeil.

100 nuits d'essai à la maison

Après avoir passé de longues années sur un vieux matelas, il faut un certain temps pour que le corps s'habitue à un nouveau support. « Il faut prévoir un minimum de 30 nuits d'essai avant d'en ressentir les bienfaits », explique Anthony Lionetti. Malgré un taux de satisfaction de 96 %, si un client demeure insatisfait dans les 100 nuits après la livraison, il peut échanger son matelas contre un autre modèle en magasin ou obtenir un remboursement complet. Plutôt que d'être envoyés aux ordures, les rares matelas retournés sont inspectés, nettoyés, puis donnés à des oeuvres de charité.

Pour en savoir plus sur les 100 nuits d'essai

Modèles écono et luxueux bientôt disponibles

Ce printemps, deux nouveaux modèles de matelas s'ajouteront à la gamme de produits. Pour les lits d'enfants ou d'étudiants, le JUMP6 (avec 6 po d'épaisseur de mousse) offrira un excellent rapport qualité-prix. Pour ceux qui éprouvent des problèmes de dos ou qui recherchent le confort ultime, le modèle haut de gamme JUMP10 comptera une généreuse quantité de mousse à base de graphite, pour encore plus de soutien et de fraîcheur.

À venir : un oreiller zéro déchet

Matelas Bonheur offrira sous peu un oreiller de mousse JUMP-AIR qui revalorise les matières inutilisées lors de la fabrication des matelas. « On déchiquette les restes de mousse pour remplir l'oreiller, tandis que les retailles de tissu servent à la fabrication de la housse, explique Anthony Lionetti. Ça permet d'obtenir un oreiller aussi confortable que nos matelas, sans gaspillage. »

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