Ce printemps, Christian Bégin et sa joyeuse bande d’épicuriens investissent la terrasse. Des recettes qui goûtent l’été, des fous rires, des rencontres conviviales autour du barbecue, des escapades un brin décalées, du bon vin : tous les ingrédients sont réunis pour faire de la douzième saison de Curieux Bégin un rendez-vous télévisuel festif à souhait.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

« Curieux, curieuses, je sais que l’émission va vous donner envie de vous retrouver entre amis pour partager un bon repas ou une bouteille de vino. Mais ce n’est pas le temps. Alors, j’espère que cette saison-là va vous donner le goût de patienter jusqu’à ces retrouvailles festives, à ces agapes heureuses. » - Christian Bégin

Nouvel esprit estival pour l'émission, même formule éprouvée

Que ce soit sur la terrasse qui lui tient lieu de quartier général cette saison ou sur la route vers des destinations parfois surprenantes, Christian Bégin va avant tout à la rencontre des gens. Des gens qui partagent avec lui les plaisirs – toujours assumés – de la table et d’être ensemble. Cette année, les curieux et curieuses sortent jouer dehors et redécouvrent la fraîcheur d’une cuisine de saison et sans prétention en réalisant des recettes à la fois simples, inspirantes et savoureuses.

Les découvertes de la saison racontées par Christian Bégin

Expérience plus grande que nature au Duché de Bicolline*

S’habiller, manger et vivre comme au Moyen-Âge, c’est l’épopée désarmante qui attend l’animateur – reconnu pour son côté bon vivant – dans l’univers médiéval et fantastique du Duché de Bicolline, en Mauricie. D’entrée de jeu, il décrit son immersion au cœur de ce village d’époque coupé du monde comme « l’aventure la plus extraterrestre des 12 saisons de Curieux Bégin ». L’incursion dans cet autre espace-temps s’achève sur un banquet gargantuesque digne des plus mémorables festins d’Astérix. « Je suis arrivé à Bicolline bardé de préjugés, avoue-t-il, puis j’ai été véritablement happé par ce qui se passait là. »

Visite au Diner Saint-Sauveur*

« J’ai trouvé au Diner Saint-Sauveur une communauté de joyeux lurons accrochés à une époque psychédélique », raconte Christian Bégin, un sourire naissant dans la voix. « On parle souvent de réinventer les classiques; là-bas, ils le font d’une façon totalement gourmande et créative. » C’est à l’occasion d’une virée culinaire à Québec que l’animateur a fait la connaissance de la faune insolite qui fréquente l’établissement. Une rencontre qui marquera son esprit !

Un petit tour chez Furley*

Dans le West Island – à Hudson pour être précis –, un sympathique établissement fait un pied de nez aux étiquettes. On entre chez Furley pour ramasser un pain frais, une pièce de viande ou des charcuteries maison, ou encore pour se procurer une bonne bouteille. On s’y attarde pour le bar à vin et le restaurant où on sert une cuisine simple qui met à l’honneur produits locaux et artisanaux. « Furley, c’est le commerce que, moi, j’aurais aimé ouvrir. C’est un bar à vin, une boucherie, une boulangerie; c’est tout ce que j’aime, affirme Christian Bégin. C’est comme entrer directement dans mes rêves. »

Partie de pêche

Dans une émission consacrée à la pêche en milieu urbain, la curiosité pousse l’animateur à partir à la rencontre d’une bande de geeks qui réussissent à tirer du fleuve des trésors insoupçonnés. Parce qu’on ne se doute pas qu’à cet endroit, on puisse trouver une pêche aussi généreuse… et comestible ! « On a cuisiné un caviar de doré à se rouler par terre », se souvient-il, en assurant qu’on peut concocter des mets tout à fait gastronomiques à partir des poissons dont regorge le Saint-Laurent.

Le burger : plaisir coupable

Si, règle générale, le mot « culpabilité » ne rime pas avec « bouffe » dans son esprit, Christian Bégin admet que les hamburgers demeurent un plaisir coupable difficile à détrôner, un souvenir culinaire qui le ramène à son enfance. « L’un de mes plus beaux moments de la saison, c’est le spécial hamburgers avec Sylvie Léonard, dit-il. Je suis un maniaque de hamburgers; ils me procurent un plaisir gustatif comme peu de choses peuvent le faire. »

Regardez Curieux Bégin à Télé-Québec dès ce jeudi à 21 h

Toutes les émissions seront également disponibles gratuitement sur telequebec.tv

Découvrez les recettes sur Cuisinez!

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EN PRIMEUR, VOICI UNE RECETTE DE CURIEUX BÉGIN

Burger au poulet Rose des Vents

Portions : 6
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 10 minutes

Ingrédients :

- 2 lb (900 g) de poulet haché de la Ferme Rose des Vents
- 1 t (250 ml) de chapelure de pain
- 2 œufs
- 10 oz (300 g) de chair de saucisson ‘nduja
- 6 pains au lait
- ½ t (125 ml) de pesto de basilic
- 1 ou 2 tomates, coupées en tranches
- 6 feuilles de laitue Boston
- 12 copeaux de parmesan

Préparation :

- Déposer le poulet haché, la chapelure, les œufs et la chair de saucisson ‘nduja dans un bol et bien mélanger. Si le mélange est trop collant, ajouter un peu de chapelure.
- Façonner 6 boulettes et les cuire à chaleur directe, sur la grille du barbecue chauffé à moyen-vif, 5 minutes de chaque côté.
- Griller les pains et les garnir de pesto, de tranches de tomates et de laitue. Répartir les boulettes et ajouter les copeaux de parmesan sur le dessus. Servir aussitôt.

Variantes : Le saucisson ‘nduja nous vient de la région de Calabre en Italie. Il s’agit d’un saucisson piquant à tartiner fait à base de porc, de poivron rouge, de piment fort et de paprikas fumé et ordinaire. Il peut être remplacé par tout autre saucisson à tartiner du genre. Les pains au lait peuvent également être remplacés par vos pains à hamburgers favoris. Finalement, un poulet haché d’un autre fournisseur peut aussi être utilisé.

Ce burger s’accompagne bien d’un vin blanc, notamment le Prà, un classique hyper floral à découvrir.

*Compte tenu de la situation actuelle liée à la COVID-19 au Québec, il est possible que ce lieu soit temporairement fermé ou qu’il ait réduit ses activités.