Après les succès de Da Vinci Code (2006) et d'Anges et démons (2009), Inferno, le troisième volet de la franchise cinématographique mettant en vedette le célèbre expert en symbologie Robert Langdon, prend l'affiche cette semaine dans les cinémas du Québec.

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Columbia Pictures et Imagine Entertainment confient encore une fois le défi de l'adaptation du roman à succès de l'auteur Dan Brown au réalisateur oscarisé Ron Howard. Occupant le quatrième rang des meilleures ventes de livres au Québec en 2013, Inferno nous plonge dans une course contre la montre pour déjouer un complot à l'échelle mondiale et empêcher le déchaînement de l'enfer. Robert Langdon se réveille dans un hôpital italien, frappé d'amnésie, et doit collaborer avec la Dre Sienna Brooks pour retrouver la mémoire. Tous deux sillonneront l'Europe et suivront la piste d'indices liés au grand Dante lui-même.

Bon ou méchant? Ce n'est pas évident.

Le film se garde bien de dire explicitement qui sont les bons et les méchants, laissant ainsi libre cours à l'interprétation des spectateurs. C'est d'ailleurs une des premières indications qu'Howard a données à son équipe d'acteurs.

Tom Hanks reprend pour la troisième fois le rôle du professeur Robert Langdon.  Cependant, dans Inferno, le personnage se distingue dès le départ. « Robert connaît généralement tout ce qu'il y a à savoir sur les symboles, l'art, l'histoire. Mais quand le film commence, il n'a aucune idée d'où il est ni pourquoi », explique Hanks.

Felicity Jones, nommée pour l'Oscar de la meilleure actrice en 2015 pour sa performance dans La Théorie de l'univers, s'ajoute à la distribution. Elle nous révèle qu'il ne faut pas se fier aux apparences pour ce qui est de son personnage. « Sienna est une femme forte, une écologiste pleine de convictions. À première vue, elle a l'air de quelqu'un qui tente d'empêcher la propagation d'un virus mortel. Mais il s'agit aussi d'une histoire contemporaine sur la paranoïa, la peur des gouvernements et la confiance que nous accordons aux gens. »

Ben Foster, quant à lui, enfile les souliers du scientifique Bertrand Zobrist. « Mon personnage est un bio‑ingénieur qui s'inquiète des réalités meurtrières de la surpopulation. Il est déterminé à créer un virus et à le propager pour protéger, selon lui, les intérêts de la planète », explique-t-il.

Les lieux de tournage : un véritable voyage

Inferno fait voyager les spectateurs dans un univers complexe et mystérieux... mais a aussi fait voyager l'équipe de production aux quatre coins du monde. « Il est toujours spécial, lorsque vous tournez un film, de vous retrouver dans les véritables emplacements, dit Howard. Les reproductions et les effets spéciaux sont fantastiques, mais il n'y a rien comme être réellement à un endroit, et l'impact que cela crée sur toutes les personnes impliquées devant et derrière la caméra. »

Des endroits magnifiques et historiquement importants forment la toile de fond du thriller. Environ 70 % du film a été tourné sur place, à Venise, Florence, Budapest et Istanbul. « Nous avons pu nous rendre dans des lieux fascinants. Par exemple, nous avons eu accès au toit de la basilique Saint-Marc à Venise, ce qui donne une tout autre dimension au film », déclare fièrement Tom Hanks.

Mystère résolu?

Dans Inferno, les questions tournent autour de la surpopulation. Y a-t-il vraiment trop de naissances? Existe-t-il un moyen de résoudre le problème? Notre monde est-il véritablement en train de devenir une nouvelle version de l'Enfer de Dante? L'acteur français Omar Sy, qui fait également partie de la distribution, affirme d'ailleurs que « l'intrigue du film pose une question philosophique très intéressante quant à notre existence sur cette planète. Je suis curieux de voir quel parti prendra le public ». Rendez-vous en salle cette semaine pour explorer ces questions!

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