Il est paradoxal que le milieu des brevets ait si peu innové depuis plus d’un siècle. C’est ce qui a inspiré des agents de brevet de BCF Avocats d’affaires à former un groupe de propriété intellectuelle à l’approche différente. « Nous servons notre clientèle comme nous aurions nous-mêmes aimé être servis pendant que nous étions en entreprise », résume Andréanne Auger, associée et membre du comité exécutif. Voici ce qui distingue cette équipe d’ici qui voit grand.

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L’immense valeur de la
propriété intellectuelle

Imaginez qu’un fonds en capital de risque s’intéresse à une jeune pousse technologique dont la majorité des revenus proviennent de la commercialisation à l’étranger. Malheureusement, l’innovation révolutionnaire de l’entreprise n’est protégée par aucun brevet à l’extérieur du Canada, une telle démarche ayant été jugée trop coûteuse. L’absence de barrières à l’entrée pour protéger son innovation dans les marchés clés nuira assurément à l’évaluation de l’entreprise en question aux yeux des investisseurs.

Protéger la propriété intellectuelle transforme celle-ci en actif permettant de contrôler l’accès au marché, d’attirer des partenaires, d’obtenir du financement et, potentiellement, de vendre l’entreprise à sa juste valeur.

Andréanne Auger, associée, agente de brevets et membre du comité exécutif, BCF

Les entreprises du secteur des sciences de la vie mettent parfois plus d’une décennie à développer une molécule sans réaliser une seule vente. Une telle technologie représente pourtant un actif précieux dont la valorisation dépend directement des brevets en place. Dans les autres domaines technologiques, notamment celui des logiciels, la valeur de la propriété intellectuelle peut être calculée en fonction des flux financiers présents et à venir ou du montant des investissements nécessaires pour créer une solution de rechange à l’innovation protégée.




Aligner la propriété intellectuelle
avec les objectifs d’affaires


Intimidées par les obstacles financiers ou manquant de connaissances sur le sujet, de trop nombreuses organisations ne protègent pas adéquatement leur propriété intellectuelle. Elles sous-estiment les conséquences d’une absence de stratégie la concernant en laissant s’échapper une grande partie de la valeur de leurs activités de recherche et développement, donnant par la même occasion le champ libre aux grandes entreprises technologiques de l’étranger de s’approprier les fruits de leurs efforts. En d’autres mots, cela revient à céder ses ressources naturelles au rabais et à laisser la plus grande partie des profits à ceux et celles qui transforment ces ressources.

Au-delà des moyens financiers, c’est surtout une question d’état d’esprit. Dès le début, il faut bâtir une entreprise locale qui soit capable de rivaliser dans un marché international.

Julien Lacheré, associé, agent de brevets et chef du groupe de propriété intellectuelle, BCF

Une stratégie de protection de la propriété intellectuelle doit d’abord considérer les objectifs d’affaires, puis définir les jalons pour les atteindre. Elle identifie en amont les moments où il faudra obtenir du financement ou s’entourer de partenaires pour passer à l’étape suivante. Enfin, elle doit être communiquée avec clarté, sans se perdre dans la complexité. « Les chefs d’entreprise et les investisseurs s’attendent à un plan articulé et bien exécuté », précise Julien Lacheré.


Racines locales,
impact mondial


L’équipe de BCF, dirigée depuis son bureau de Montréal, regroupe des agents de brevet ainsi que des professionnels du droit de la propriété intellectuelle qualifiés pour agir directement au Canada, aux États-Unis et en Europe. Travailler avec un guichet unique permet de centraliser les démarches sur ces trois territoires et de gagner en efficacité. « Nous sommes établis ici et nous desservons les entreprises d’ici, afin que leur propriété intellectuelle soutienne pleinement leur croissance à l’international », souligne Andréanne Auger.



De nouveaux alliés pour
apprivoiser l’intelligence artificielle

BCF AVOCATS D’AFFAIRES

Dans l’ordre (de gauche à droite) : Paul Gagnon, Misha Benjamin

La convergence des technologies accélère l’introduction d’innovations de rupture, comme l’intelligence artificielle (IA), dans une multitude d’industries. Pour renforcer son expertise à ce titre, BCF a récemment recruté MPaul Gagnon et MMisha Benjamin en tant que de coleaders, Technologies et intelligence artificielle.

Depuis 2017, tous deux participent activement au débat juridique qui entoure le déploiement de l’IA et encouragent l’adoption de bonnes pratiques d’affaires, tant du côté des grandes entreprises technologiques que de celui des petites et moyennes entreprises (PME).

« Les besoins sont importants en matière d’IA, et un conseil pragmatique est de mise, explique Paul Gagnon. Des lignes directrices d’utilisation des outils d’IA aux cas plus complexes, il faut bâtir le muscle de gouvernance et de gestion de ce type d’intelligence. »

L’aversion au risque paralyse certaines entreprises et les empêche de tirer profit de la pleine puissance de l’IA. D’autres foncent aveuglément et négligent certaines menaces liées à la gouvernance ou à la réputation. Dans leur pratique, les deux associés aident les organisations à se doter d’un cadre réfléchi pour le développement de leur capacité d’innovation en IA.

Le Québec a été le fer de lance en IA, mais on perd cet élan pour ce qui est de son adoption. Nos entreprises ont toutes les raisons de profiter de l’expertise pratique locale pour adopter ces technologies et rayonner ici et à l’international, et nous sommes prêts à les accompagner là-dedans.

Misha Benjamin, coleader, Technologies et intelligence artificielle