Qu’il soit en salle opératoire, en consultation avec ses patients ou auprès des résidents à qui il enseigne, le DKarl Schwarz travaille à défaire les préjugés entourant la chirurgie plastique. Parce que, quand les patients lui disent que leur vie est transformée après être passés sous son bistouri, il reconnaît l’immense incidence positive qu’une intervention chirurgicale peut avoir.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

Pour le DKarl Schwarz, le choix de poursuivre une spécialité en chirurgie plastique s’est imposé de lui-même. Il faut dire que, avant lui, son père s’était illustré comme chirurgien plasticien. Très tôt, le DSchwarz a su voir l’art derrière la chirurgie : « La chirurgie plastique, c’est la parfaite combinaison entre la science, l’ingénierie et l’art », résume-t-il.

Le chirurgien montréalais a fait ses classes auprès des grands, à l’hôpital de l’Université Georgetown notamment, une des meilleures résidences en chirurgie plastique de l’Amérique du Nord. Membre attesté de l’American Board of Plastic Surgery et du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, le DSchwarz contribue à former la relève dans ce domaine qui le passionne.

Clinique K

En fondant la Clinique K, le réputé chirurgien a imaginé une pratique ultramoderne spécialisée en chirurgie plastique et reconstructive, un endroit où l’on privilégie l’honnêteté avec le patient et l’atteinte de résultats naturels. C’est l’ultime boussole qui guide le DSchwarz. « À mes yeux, il est de l’entière responsabilité du chirurgien plastique de s’assurer que le client comprend ce qui est possible et ce qui ne l’est pas, selon sa physionomie et les limites du corps humain, explique-t-il. Notre rôle est aussi de veiller à ce que ses attentes soient réalistes avant de passer sous le bistouri. » Il n’est pas rare, d’ailleurs, que le DKarl Schwarz refuse de pratiquer une intervention sur un patient ou une patiente.

Il faut se rappeler qu’il s’agit de procédures cosmétiques et facultatives. Le patient doit être en bonne santé, physique et mentale, et les raisons qui motivent son choix d’avoir recours à la chirurgie doivent être fondées.

DKarl Schwarz, fondateur, Clinique K

Transformer des vies

Dr Karl Schwarz, fondateur, Clinique K

Bien qu’il prône l’acceptation de soi, le DSchwarz est aux premières loges pour mesurer l’incidence positive que peut avoir la chirurgie sur les hommes et les femmes qui la choisissent. Parfois considérées comme frivoles, certaines interventions permettent pourtant de changer des vies. « Quand une jeune fille a été complexée toute sa vie par son nez, par exemple, la rhinoplastie peut l’aider à gagner en confiance, à entrer en relation avec les autres », illustre le chirurgien.

Toutefois, c’est lorsqu’il travaille en chirurgie reconstructive que son travail prend tout son sens. Qu’on pense à la reconstruction mammaire auprès des survivantes du cancer du sein ou à la reconstruction du visage après un trauma, ces procédures chirurgicales aident bien souvent le patient à cheminer dans le processus de rétablissement. Au Canada, la Clinique K est d’ailleurs l’un des rares cabinets privés à offrir la reconstruction du sein au privé.

Certaines femmes portent fièrement les cicatrices de leur mastectomie comme un insigne d’honneur et j’ai un grand respect pour elles. Pour d’autres, la chirurgie reconstructive fait partie du chemin vers la guérison. Quand elles me disent que leur vie est transformée après l’opération, ça donne un sens à ce qu’on fait ici.

DKarl Schwarz, fondateur, Clinique K

Le facteur humain

Lorsqu’on demande au DSchwarz ce qui explique la réputation d’excellence de la Clinique K, la réponse ne se fait pas attendre : l’équipe. « C’est le facteur humain qui permet de limiter les risques pour le patient. C’est l’anesthésiologiste, c’est le personnel infirmier en salle opératoire, celui en salle de réveil ; ce sont tous ces humains qui assurent la sécurité des patients qui nous font confiance », conclut-il.

Prenez rendez-vous pour une consultation à la Clinique K