À l’heure où tout le Québec prend le virage de la transition énergétique et de la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), Énergir est déjà en action. L’entreprise entend continuer de mettre en place des solutions concrètes pour demeurer un acteur clé face aux enjeux climatiques, économiques et sociaux. En misant sur le gaz naturel renouvelable (GNR) pour décarboner son réseau gazier, Énergir contribue à réduire son empreinte environnementale, en plus de contribuer au grand projet collectif de décarbonisation de la province.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

YUL Aéroport international Montréal-Trudeau

La réduction des GES figure au haut de la liste des priorités depuis plusieurs années chez ADM Aéroports de Montréal, responsable notamment de l’exploitation de YUL aéroport international Montréal-Trudeau. Pour ses installations aéroportuaires de Montréal-Trudeau uniquement, l’organisation s’est fixée des objectifs ambitieux en la matière. Les cibles : réduire de 20 % les émissions de GES issues de sources fixes (chaudières, appareils de chauffage, génératrices) d’ici 2025 et de 50 % celles qui viennent de sources mobiles (véhicules, navettes de stationnement) d’ici 2030.

Comment y arriver grâce au GNR ?

L’accroissement progressif du gaz naturel renouvelable dans les opérations de YUL contribue à rapprocher l’aéroport des cibles qu’il s’est fixées. Le gaz naturel renouvelable est une énergie propre issue de la décomposition de matières organiques, comme les déchets alimentaires. Ces matières organiques sont transformées en biogaz, qui, une fois purifié, devient du gaz naturel renouvelable. Injecté dans le réseau d’Énergir pour être distribué partout au Québec, le GNR peut servir aux mêmes applications que le gaz naturel conventionnel.

CRÉDIT : ADM AÉROPORTS DE MONTRÉAL

YUL Aéroport international Montréal-Trudeau

Depuis 2020, l’énergie propre du réseau d’Énergir fait partie de l’éventail de moyens qu’utilise YUL pour décarboner son site. Concrètement, le GNR alimente les chaudières qui servent à chauffer le bâtiment principal.

Petit à petit, les mesures que nous mettons en place portent leurs fruits, et ces changements nous encouragent à redoubler d’efforts. C’est un projet à long terme qui nous mobilise et qui donne du sens à tout ce que nous faisons.

Jonathan Roy, directeur adjoint, Services aux opérations et confort pour ADM

Cap sur la relance

La réduction des émissions de GES est un combat qui se mène sur plusieurs fronts à YUL. Le complexe aéroportuaire combine d’ailleurs l’utilisation du gaz naturel renouvelable et celle de l’électricité pour accélérer sa transition énergétique. Pour l’aéroport, dont les revenus ont été durement affectés pendant la pandémie, la relance sera nécessairement teintée de vert, notamment grâce à des partenaires comme Énergir.

Depuis plusieurs années, ADM se transforme pour contribuer activement au développement durable de YUL. Au même moment, Énergir élabore une offre qui répond à cette réalité avec le gaz naturel renouvelable.

Jonathan Roy, directeur adjoint, Services aux opérations et confort pour ADM

Société des arts technologiques

Depuis 1996, la Société des arts technologiques (SAT) s’investit dans le développement et le soutien de la culture numérique.

La SAT est avant tout un lieu de vie combinant des espaces de création et de diffusion, de formation et de restauration dans lesquels collaborent et se croisent plusieurs dizaines de milliers de personnes chaque année.

Jean-Philippe Alepins, directeur du financement public et privé à la Société des arts technologiques

Annuellement, la SAT consomme entre 50 000 et 100 000 mètres cubes de gaz naturel pour chauffer son emblématique bâtiment du boulevard Saint-Laurent, à Montréal, et pour alimenter les cuisinières de son restaurant. Cherchant à améliorer son bilan énergétique, l’organisme à but non lucratif (OBNL) s’est donné deux ans pour remplacer progressivement jusqu’à 20 % de sa consommation par du gaz naturel renouvelable.

Une économie circulaire et locale

CRÉDIT : ANNE-CÉLIA WADDELL

Le Labo culinaire de la SAT

Par ailleurs, la SAT a aussi voulu donner une tout autre dimension à l’expression populaire « faire partie de la solution ». Comme ses activités — la restauration, entre autres — génèrent des matières résiduelles organiques, l’OBNL a convenu de récolter ces précieux déchets qui pourraient être acheminés dans une usine de biométhanisation pour créer du gaz naturel renouvelable. Ce dernier sera par la suite redistribué dans le réseau d’Énergir… pour alimenter notamment les cuisines et le bâtiment de la SAT en énergie propre ! Comme il peut être produit localement, le GNR contribue au développement d’une économie circulaire et locale.

Pour sensibiliser le public à la valorisation des déchets, la SAT a installé des îlots de tri dans les espaces d’accueil de ses locaux afin d’encourager le recyclage et la récupération des matières résiduelles organiques. Les personnes qui fréquentent la SAT y trouvent également des contenus ludiques démystifiant le processus de création du gaz naturel renouvelable ainsi que ses répercussions positives sur l’environnement.