Loin des grands centres urbains, le Québec révèle des paysages époustouflants et des trésors culturels. Prenez l’avion vers ces destinations d’exception pour commencer l’aventure plus tôt et vivre un dépaysement total.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

CRÉDIT : GASPÉSIE © TQ / M.LAPORTE

Gaspésie
D’où vient le nom du rocher Percé ? Lors de sa visite en 1603, Samuel de Champlain a baptisé cette emblématique formation rocheuse « Isle Percée ».

En avion*
Montréal-Percé 2 h 30 min
Québec-Percé 1 h 25 min

Île Bonaventure
C’est une île de collines verdoyantes et de hautes falaises, accessible par le parc national de l’Île-Bonaventure-et-du-Rocher-Percé. Chaque année, plus de 100 000 fous de Bassan viennent recouvrir ses berges de leur manteau de plumes blanches. Accueillant 11 espèces différentes, il s’agit du refuge d’oiseaux migrateurs le plus important de toute l’Amérique du Nord.

Parc national Forillon
Cet espace-nature vous invite à découvrir la mer, ses falaises et ses forêts. Partez en randonnée jusqu’au « Bout du Monde », observatoire situé à l’extrême est, où l’eau semble s’étendre à l’infini. Baignez-vous dans le majestueux golfe du Saint-Laurent en gardant l’œil ouvert pour y repérer une baleine bleue.

Sentier international des Appalaches
Ces 650 kilomètres de sentiers pédestres sillonnent la Gaspésie d’un bout à l’autre. Que ce soit pour un jour, pour une semaine ou pour l’aventure complète (prévoyez alors de 35 à 40 jours !), ce périple à pied vous promet des expériences grandioses.

Visitez la Gaspésie

CRÉDIT : ABITIBI-TÉMISCAMINGUE © TQ / C.DUPUIS

Abitibi-Témiscamingue
En langue algonquine, Abitibi signifie « là où les eaux se séparent » et Témiscamingue, « lac profond ».

En avion*
Montréal–Val-d’Or 1 h 20 min
Québec–Val-d’Or 1 h 20 min

Parc national d’Opémican
Inauguré en 2013, ce parc national offre un vaste terrain de jeu où explorer la nature sauvage à pied, sur l’eau ou à vélo. Des vestiges archéologiques de l’occupation du territoire par les Algonquins depuis 6 000 ans et de l’époque des draveurs vous y attendent.

Site patrimonial Cité de l’Or
Portant casque à lampe frontale et combinaison de coton, enfoncez-vous 91 mètres (300 pieds) sous terre, dans les profondeurs de l’ancienne mine Lamaque. Parcourez ce secteur historique de Val-d’Or et apprenez-en plus sur la transformation du précieux métal doré.

Sites touristiques du T.E. Draper et Chantier Gédéon
Comment vivaient les bûcherons et les draveurs d’autrefois ? Le Chantier Gédéon reconstitue un camp des années 1930-1940 pour découvrir le dur labeur de ces travailleurs forestiers. Complétez la visite en montant à bord du T.E. Draper, un bateau d’époque converti en musée.

Visitez l’Abitibi-Témiscamingue

CRÉDIT : ÎLES-DE-LA-MADELEINE © TQ / C.COLIN

Îles-de-la-Madeleine
Une devise madelinienne encourage les visiteurs à ralentir le rythme : « Aux Îles, on n’a pas l’heure, on a le temps ! ».

En avion*
Montréal–Îles-de-la-Madeleine 1 h 50 min
Québec–Îles-de-la-Madeleine 2 h

Les plages
Cet archipel d’une douzaine d’îles compte 300 kilomètres de plages, soit plus que la distance qui sépare Montréal de Québec ! Le vent du large en fait le paradis de la planche aérotractée (kitesurf en anglais) et de la planche à voile. Par ailleurs, à la mi-août, la dune de Sandy Hook accueille le plus grand concours de châteaux de sable du monde.

Falaises de la Belle-Anse
Au coucher du soleil, ces falaises de grès rouge prennent une couleur spectaculaire aux ombres dramatiques; véritables sculptures naturelles bercées par la mer. Savourez-y un pique-nique, accompagné de la douce musique des vagues.

Big Hill, sur l’île d’Entrée
Au centre de cette toute petite île verdoyante se trouve une grosse colline, Big Hill, plus haut sommet de l’archipel madelinois. Par temps clair, ses 174 mètres de hauteur permettent de contempler des panoramas grandioses de tous les côtés.

Visitez les Îles-de-la-Madeleine

CRÉDIT : MANICOUAGAN (CÔTE-NORD) © TQ / G.REMM

Côte-Nord
Le vaste territoire de la Côte-Nord s’étend sur 236 665 km2, soit 79 fois l’île de Montréal.

En avion*
Montréal–Sept-Îles 1 h 30 min
Québec–Sept-Îles 1 h 30 min
Montréal-Fermont 3 h 30 min
Québec-Fermont 2 h 30 min

Visite des grands barrages
Le long des rivières Manicouagan et Romaine, ces constructions cyclopéennes alimentent le Québec en hydroélectricité. Remontez à la source de notre énergie propre à l’occasion d’une visite guidée gratuite des barrages et des centrales Manic-2, Manic-5 et Romaine-1.

Chasser et pêcher
Avec ses plans d’eau cristallins et ses forêts sauvages, la Côte-Nord est un paradis de la chasse et de la pêche. Des visiteurs de partout dans le monde affluent vers ses pourvoiries et ses zones d’exploitation contrôlée (zecs) pour pêcher à la mouche dans ses généreuses rivières à saumon.

Fermont : à la frontière de tout
Aux portes du Labrador, cette ville industrielle est enneigée huit mois par année. D’août à mars, trouvez-y un endroit dégagé loin des sources de lumière — comme les monts Daviault et Severson — pour observer les aurores boréales.

Visitez la Côte-Nord

Pour plus d’informations
Rendez-vous sur le site web de Bonjour Québec pour découvrir les liaisons aériennes régionales qui s’offrent à vous.

Découvrez les liaisons aériennes régionales du Québec

*Temps estimé selon Google Maps. La durée exacte du déplacement peut varier selon la compagnie aérienne, les escales et les dates de vol.