Partout au Québec, les organismes à but non lucratif ont grandement besoin des bénévoles qui leur permettent de poursuivre leur mission. En cette journée, ils joignent leur voix à celle du Réseau de l’action bénévole du Québec (RABQ) pour les remercier de leur implication.

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En cette 35e édition de la Journée internationale des bénévoles, un événement célébré le 5 décembre de chaque année, le RABQ et des organismes de tous horizons souhaitent mettre en lumière l’apport inestimable des bénévoles au Québec.

Pour les remercier d’illuminer nos vies, les chutes du Niagara et le mât du Stade olympique s’illumineront à leur tour, pour eux. À cette occasion, le Centre d’action bénévole du Rivage illuminera également la basilique du sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, à Trois-Rivières. « Nous voulons remercier les bénévoles et saluer leur implication », souligne Marilyne Fournier, directrice générale du RABQ. « Le bénévolat amène un plus à la société et fait en sorte qu’elle soit pleine de lumière. »

Voyez les initiatives menées à l’occasion de la Journée internationale des bénévoles.

3 mythes sur le bénévolat

En 2020, il existe de nombreuses façons de faire du bénévolat, et tout autant de raisons de s’y mettre. Mais quelques mythes persistent. En voici trois exemples.

Mythe no 1 : Pour être bénévole, ça prend beaucoup de temps libre.

« Pas du tout ! Il existe des offres de bénévolat pour toutes les capsules de temps, assure Marilyne Fournier. En moyenne, les bénévoles offrent deux heures de leur temps par semaine, mais ça peut être une fois par mois, par année. »

Mythe no 2 : La COVID-19 m’empêche de faire du bénévolat.

Avec la pandémie, le télébénévolat gagne en popularité. Plusieurs organismes se sont adaptés à la situation et permettent à leurs bénévoles de s’impliquer de façon virtuelle, directement de chez eux.

Mythe no 3 : Le bénévolat, c’est seulement pour les aînés.

Au Québec, le portrait des bénévoles est hautement diversifié. Il n’y a pas d’âge pour prêter main-forte aux plus vulnérables et aux organismes qui ont besoin de ce soutien essentiel pour fonctionner. « Souvent, le bénévolat suit les stades de notre vie, explique la directrice générale du RABQ. On s’implique auprès du CPE quand notre enfant le fréquente et plus tard, on devient coach de son équipe de soccer, par exemple. » Le bénévolat, c’est pour tout le monde.

Par où commencer ?

Une chose est certaine : tous les secteurs ont besoin de bénévoles, et ce, tout au long de l’année. Les secteurs d’activités où les gens s’impliquent le plus restent les services sociaux et la santé, suivis de près par la culture et les loisirs. Dans ce dernier créneau, qui compte 4 500 organismes, 3 000 d’entre eux fonctionnent uniquement grâce à l’action de leurs bénévoles : clubs d’horticulture, bibliothèques, groupes folkloriques, etc.

Que ce soit pour socialiser, se créer un réseau, maintenir ses capacités intellectuelles avec l’âge, découvrir ses compétences, s’investir dans une cause, acquérir de l’expérience en vue d’un premier emploi ou aider les autres, il y a autant de raisons de s’impliquer dans une première expérience de bénévolat qu’il y a de bénévoles ! La plateforme virtuelle jebenevole.ca permet de jumeler organismes et bénévoles.

« Le bénévolat, ça profite à tout le monde : à ceux qui le font comme à ceux qui le reçoivent », conclut Marilyne Fournier.

Trouvez un organisme qui cherche des bénévoles dans un domaine qui vous intéresse.

Faits saillants de l’action bénévole au Québec

· Plus de 2,2 millions de bénévoles à travers la province.
· Environ 268 millions d’heures par année consacrées par les bénévoles de plus de 15 ans.
· Un peu plus de la moitié des bénévoles donnent 1 à 10 heures de leur temps chaque mois*.

*Selon un sondage réalisé par la firme Léger