Le porc du Québec, c’est bon pour nous. Choisir cette protéine saine élevée ici, c’est bon pour notre économie locale, bon pour nos régions, bon pour l’environnement et bon pour notre santé… sans oublier que c’est si bon au goût. Voici maintenant ce qu’il est bon de savoir sur le porc d’ici. Testez vos connaissances !

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

Question 1 : Le porc élevé au Québec est rigoureusement inspecté pour s’assurer que sa viande ne contient aucune trace :

A. De résidus d’antibiotiques
B. D’hormones de croissance
C. D’agents pathogènes et d’autres contaminants
D. Toutes ces réponses

Sylvain Fournaise, vice-président Sécurité alimentaire et Services techniques à Olymel

Sur les fermes comme dans les usines de transformation, la biosécurité est au cœur des activités de la filière porcine du Québec. Soumise au plan de surveillance nationale, la filière porcine québécoise peut se vanter d’avoir des standards élevés en matière de salubrité et de santé. « Les inspecteurs de l’Agence canadienne d’inspection des aliments sont présents quotidiennement dans les usines pour vérifier chaque animal. Des analyses permettent de confirmer que la viande ne contient aucune trace de résidus d’antibiotiques, d’agents pathogènes ou de contaminants », explique Sylvain Fournaise, vice-président Sécurité alimentaire et Services techniques à Olymel, plus grand transformateur de la province. Au Canada, l’utilisation d’hormones de croissance est par ailleurs interdite.

Réponse : D

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Question 2 : Au total, la filière porcine fait travailler plus de 31 000 personnes à temps plein partout au Québec. Les fermes d’élevage d’ici emploient chacune en moyenne :

A. 2 personnes
B. 12 personnes
C. 32 personnes
D. 120 personnes

David Duval, président des Éleveurs de porcs du Québec

Les quelque 1 700 fermes porcines présentes dans toutes les régions du Québec emploient en moyenne 2 personnes chacune. « Le portrait des fermes d’élevage québécoises est unique en Amérique du Nord, affirme David Duval, président des Éleveurs de porcs du Québec. Avec nos entreprises agricoles familiales, nous sommes très loin de ce qui se fait ailleurs, même au Canada, où ce sont de grands joueurs industriels qui dominent le marché. » Au Québec, les fermes sont à échelle humaine, et les éleveurs ont tout intérêt à léguer à leur relève familiale une entreprise ainsi que des troupeaux dont ils auront pris grand soin.

Réponse : A

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Question 3 : Vrai ou faux ? Au Canada, un programme de traçabilité permet de suivre chaque porc, de sa naissance jusqu’à l’usine de transformation.

A. Vrai : cela assure la biosécurité de la chaîne d’approvisionnement.
B. Faux : cette technologie n’est pas encore disponible ici.

Le programme PorcTRACÉ contribue à limiter les risques de propagation de maladies porcines au Canada afin de conserver nos marchés d’exportation. La chaîne d’approvisionnement porcine du Québec est l’une des plus sûres du monde.

Réponse : A

« Nous connaissons avec précision les mouvements de chacun des troupeaux, du bâtiment où ils ont été élevés jusqu’à l’usine de transformation, précise David Duval. Ça fait en sorte que nous pourrions réagir rapidement si une quelconque anomalie devait être détectée, que ce soit chez l’éleveur ou à l’usine de transformation. » Cette qualité sanitaire élevée est d’ailleurs reconnue sur la scène internationale : les pays importateurs les plus exigeants raffolent du porc d’ici.

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Question 4 : Le bien-être animal est une préoccupation constante pour les éleveurs et les transformateurs porcins. De la ferme à l’usine, quelles sont les mesures qui sont mises en place pour favoriser le confort des animaux ?

A. Les porcs ont accès à des mesures d’enrichissement adaptées à leur stade d’évolution.
B. Les éleveurs font jouer de la musique d’ambiance pour apaiser les porcs.
C. Le transport se fait sur de courtes distances pour diminuer le stress des animaux.
D. Toutes ces réponses

Tout au long de la chaîne d’approvisionnement, les éleveurs veillent au bien-être des animaux, que ce soit en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’espace pour se déplacer à leur guise, en mettant à leur disposition des accessoires pour enrichir leur environnement, en réglant la température des enclos pour leur confort, etc. Au Québec, les usines de transformation sont dispersées partout sur le territoire, et les trajets à parcourir sont plus courts. C’est bénéfique à la fois pour l’animal et pour l’environnement.

Réponse : D

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Question 5 : Vrai ou faux ? La viande de porc figure parmi les protéines ayant un bilan carbone et eau parmi les plus faibles à l’échelle mondiale.

A. Vrai
B. Faux

De nombreuses initiatives ont été implantées au fil des ans pour réduire l’impact environnemental lié à la transformation du porc. « Dans certaines usines, la chaleur rejetée par les unités de réfrigération est réutilisée; les emballages sont maintenant conçus avec de l’encre écologique; et, pour certaines opérations, nous utilisons la vapeur plutôt que des bassins d’eau, énumère Sylvain Fournaise. Les investissements pour réduire l’empreinte écologique ont été majeurs du côté d’Olymel. »

Les éleveurs, quant à eux, se sont dotés à partir de 2014 d’une démarche de responsabilité sociale, pour laquelle une reddition de comptes des exigences sociales et environnementales est effectuée d’année en année; une démarche qui a d’ailleurs fait l’objet d’une motion de félicitations unanime à l’Assemblée nationale du Québec. Tout cela pour faire du porc du Québec un choix réellement bon pour nous !

Réponse : A

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