Pas évident d’établir un portrait « vert » des Québécois ! Imaginons un instant qu’on fusionne 8 millions de citoyens en un seul individu : à quoi donc ressembleraient ses habitudes écoresponsables et son opinion sur les changements climatiques ? Faites ici connaissance avec M. Plante, esquissé à partir des résultats d’un sondage sur l’environnement réalisé par le Fonds de solidarité FTQ en collaboration avec Léger auprès de 1 002 Québécois.

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Comme 79 % de ses semblables, M. Plante croit que les changements climatiques représentent le plus grand problème humanitaire et planétaire de l’heure. Ayant lu des articles sur le sujet et regardé plusieurs reportages – notamment sur les inondations au Québec au printemps dernier –, il voit d’un œil perplexe les 2 % de citoyens qui estiment, eux, que de telles transformations du climat n’existent pas.

S’il recycle depuis plusieurs années, M. Plante s’est mis depuis peu au compostage. Il a découvert quelques trucs simples pour rendre le tout plus facile et agréable, comme mettre ses sacs de compost au congélateur. Ainsi, il fait partie des 48 % de citoyens interrogés qui font du compostage une habitude verte quotidienne; 52 % de Québécois ont quant à eux répondu qu’ils ne s’y adonnaient pas, dont 5 % en raison des mauvaises odeurs.

Autant que possible, M. Plante essaie d’exploiter au maximum les denrées qu’il se procure au supermarché; comme 6 Québécois sur 10, il estime qu’il jette chaque semaine environ 10 % ou moins de son épicerie. Néanmoins, il y a toujours place à l’amélioration : selon Recyc-Québec, le ménage moyen au Canada gaspille en effet 140 kg de nourriture chaque année, ce qui correspond à une perte annuelle de 1 100 $.

M. Plante a à cœur le bon fonctionnement de sa « belle grosse planète bleue », comme il se plaît à l’appeler. Mais dernièrement, il s’inquiète de son état. Plus particulièrement, il craint la surconsommation (33 %), la pollution par le plastique (29 %), l’émission de gaz à effet de serre (25 %) et la contamination de l’eau (24 %).

Même s’il lui arrive de faire quelques courses à pied, M. Plante possède une voiture : tels 93 % des ménages québécois, il est propriétaire d’au moins un véhicule. Il roule principalement avec un traditionnel modèle à essence, comme le font 7 Québécois sur 10 (73 %).

Relever le défi « zéro déchet », c’est-à-dire ne générer aucun détritus pendant un an : pas facile, facile ! Si on lui demandait d’y prendre part, M. Plante indique qu’il ferait bel et bien des efforts en ce sens, même s’il n’est pas convaincu qu’il y arriverait – à l’instar de 6 Québécois interrogés sur 10. Certaines habitudes, comme celles qui consistent à cesser d’utiliser des sacs individuels en plastique ou à opter pour l’achat en vrac, s’avèrent néanmoins faciles à incorporer à son quotidien. Bravo, M. Plante !  

Quelques personnes dans l’entourage de M. Plante ont récemment adopté le véganisme, ce mouvement qui consiste à ne consommer aucun produit issu des animaux (ou de leur exploitation). S’il continue de se procurer des produits d’originale animale, M. Plante se dit néanmoins sensibilisé à la cause, comme 33 % de ses concitoyens.
Bien sûr, M. Plante reste préoccupé par son portefeuille… comme plusieurs de ses semblables. S’il fait des efforts pour réduire sa consommation d’énergie – par exemple en éteignant la lumière lorsqu’il quitte une pièce de la maison –, c’est plus par souci d’économiser de l’argent (à l’égal de 61 % de Québécois) que pour l’impact environnemental de la chose (39 %).

Beau temps, mauvais temps, M. Plante imite 99 % de ses semblables et marche jusqu’au trottoir pour y déposer son sac de recyclage rempli de boîtes de conserve vides et bien rincées, de papier journal, etc. Il le fait même s’il lui arrive parfois – pareillement à 18 % de citoyens – de ne pas savoir si tel ou tel matériau se recycle...

On le voit bien : tout comme plusieurs Québécois, M. Plante est préoccupé par l’environnement et les changements climatiques. Résultat ? Dans l’espoir d’améliorer l’état de la planète, il pose plusieurs actions écoresponsables au quotidien. Ses gestes drapés de vert sont néanmoins à la hauteur de son portefeuille… ce qui ne l’empêche pas de mettre l’épaule à la roue, comme grand nombre de ses semblables ayant à cœur d’assurer un avenir plus propre aux générations futures. Merci, M. Plante !

Découvrez en plus sur le portrait vert des Québécois

Méthodologie

À l’instar du sondage mené l’an dernier par le Fonds de solidarité FTQ à propos de la relation entre les jeunes et l’argent, l’entreprise se penche cette année sur les Québécois et l’environnement, notamment ce qui touche aux habitudes de consommation. Du 11 au 18 mars 2019, un sondage d’opinion a été mené en collaboration avec Léger auprès de 1 002 Québécois afin de vérifier leurs perceptions, leurs comportements et leurs habitudes d’achat.