L’anxiété touche de plus en plus de personnes au Canada. Près du tiers d’entre elles disent en souffrir à un niveau élevé, ce qui est quatre fois plus qu’avant la pandémie de COVID-19⁠1. En tant qu’assureur, Beneva constate qu’il est plus important que jamais de prendre des mesures pour favoriser la santé mentale au pays. Néanmoins, comment est-il possible, en tant que collectivité, de prendre des moyens pour prévenir l’anxiété ?

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

Lorsqu’il se penche sur les principales causes d’arrêt maladie chez les travailleuses et les travailleurs canadiens, Éric Trudel, vice-président exécutif et leader, Assurance collective, à Beneva, constate que la santé mentale occupe un rôle prépondérant. « De 2012 à 2020, on observe une hausse de 35 % des invalidités liées à l’anxiété », précise-t-il. Les données révèlent que la situation serait encore plus préoccupante chez les jeunes travailleurs.

Pour l’assureur, qui souhaite se distinguer par son approche bienveillante, la santé n’est pas seulement une responsabilité individuelle, mais bien une préoccupation collective. « Une grande partie de la solution réside dans la prévention », croit Éric Trudel.



Priorité : la prévention

Des régimes de soins généreux qui couvrent la santé psychologique, des programmes d’aide aux employés efficaces, des outils de sensibilisation qui touchent à toutes les facettes de la santé (habitudes de vie, sommeil, etc.), un suivi proactif des indicateurs de mieux-être : voilà autant de services d’aide que les employeurs ont à leur portée pour garder les gens au travail, en bonne santé physique et mentale.

Parce qu’ultimement, ce que tout le monde veut, c’est un employé qui est au travail et qui est bien. Aujourd’hui, les humains sont l’actif le plus précieux qu’une organisation peut avoir.

Éric Trudel, vice-président exécutif et leader, Assurance collective, Beneva


Reconnu pour la place qu’il donne aux gens et à leur bien-être au cœur même de ses actions ainsi que pour ses valeurs mutualistes, Beneva a fait de la prévention de l’anxiété la principale cause qu’il soutient. Cet engagement se traduit entre autres par un investissement d’un million de dollars pour mettre en œuvre des projets ciblés en lien avec l’anxiété, en partenariat avec différents organismes :

  • Chaire de recherche Relief en santé mentale, autogestion et travail
  • Fondation Jeunes en Tête
  • Fillactive
  • Oasis Immersion
  • Société des arts technologiques (SAT)
  • Centre d’expertise en gestion de la santé et de la sécurité du travail de l’Université Laval
  • Université York de Toronto (création d’un fonds de recherche sur l’anxiété)




Des actions pour prendre soin de soi

Poser des gestes — petits ou grands — qui les aident à se sentir bien fait partie des outils à la portée des personnes vivant avec l’anxiété pour qu’elles soient capables de reprendre du pouvoir sur la situation. S’il n’existe pas de recette universelle pour pratiquer l’autogestion, des spécialistes ont été en mesure de distinguer plusieurs stratégies gagnantes que voici.

  • S’entourer de gens qui nous font du bien
  • Se concentrer sur le moment présent
  • Prendre soin des autres
  • Adopter de saines habitudes de vie
  • Chercher l’aide d’un intervenant professionnel ou d’une intervenante professionnelle
  • Etc.



L’autogestion, un travail d’équipe

L’autogestion peut être pratiquée par les personnes qui vivent avec des troubles anxieux, dépressifs ou d’autres types, mais elle peut aussi constituer un moyen préventif de favoriser le bien-être en contexte professionnel. « Dans les organisations, par exemple, on voit de plus en plus d’employeurs qui offrent des ateliers d’autogestion », fait remarquer Éric Trudel, qui se réjouit que les tabous entourant la santé mentale tombent enfin.

Beneva a contribué à propulser la création de la Chaire de recherche Relief en santé mentale, autogestion et travail de l’Université Laval, en partenariat avec le professeur et chercheur Simon Coulombe, Ph. D.


Ensemble, il est possible de trouver des solutions pour favoriser la santé mentale au pays. La prévention et l’autogestion en sont les premières étapes.



⁠1
Dozois, D. J. A. et Mental Health Research Canada, « Anxiety and depression in Canada during the COVID-19 pandemic : A national survey », Canadian Psychology/Psychologie canadienne, 2021, 62(1), p. 136-142.