Le premier ministre socialiste français Manuel Valls a estimé mardi qu'il existait en France «un apartheid territorial, social, ethnique», en évoquant les «maux» affectant le pays frappé par des attentats de djihadistes français.

«Ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays ou des défis que nous avons à relever. À cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle peu (...) la relégation péri-urbaine, les ghettos, (...) un apartheid territorial, social, ethnique, qui s'est imposé à notre pays», a-t-il déclaré lors de ses voeux à la presse.

Plus de détails suivront.