Qosmos, société française spécialisée dans les technologies de l'information, est soupçonnée d'avoir fourni au régime de Bachar Al-Assad les moyens d'espionner des opposants syriens qui ensuite ont été soumis à des actes de tortures.

Le 1er avril, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire (enquête d'un juge d'instruction) pour «complicité d'actes de torture» contre l'entreprise qui commercialise des sondes capables d'intercepter les données véhiculées sur le web.

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