Depuis l’adoption du projet de loi 17 en octobre 2019, l’application Uber s’est ajoutée au téléphone intelligent de nombreux Québécois et Québécoises. Pourtant, peu de gens savent tout ce qui se déroule dans les coulisses de cette entreprise technologique offrant un moyen sécuritaire de se déplacer. Voici quelques faits à connaître à propos de ce service.

Qu’est-ce qu’un XTRA?

XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

1. Les chauffeurs qui utilisent Uber ont réussi une vérification de leurs antécédents judiciaires.

Les Québécois et les Québécoises qui souhaitent transporter des personnes au moyen de l’application Uber doivent consentir à une vérification annuelle de leurs antécédents judiciaires. « Toute personne qui désire s’inscrire à titre de chauffeur doit réussir une vérification de leurs antécédents judiciaires qui est encadrée par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) », explique Jonathan Hamel, gestionnaire des affaires publiques pour le Québec à Uber. L’entreprise indépendante ISB Global Services effectue les recherches nécessaires à partir des bases de données du Service de police de Blainville.

2. Les chauffeurs avec Uber ont un bon dossier de conduite.

Le dossier de conduite des chauffeurs du côté de la SAAQ fait lui aussi l’objet d’une vérification. « Un conducteur ne doit avoir aucune infraction majeure ou grave, et pas plus de trois infractions mineures au cours des trois dernières années », précise Jonathan Hamel.

3. Les chauffeurs avec Uber doivent réussir une formation de 15 heures.

Pour qu’ils soient en droit d’effectuer du transport rémunéré de personnes par automobile, le ministère des Transports du Québec exige des chauffeurs qu’ils suivent une formation en ligne en français de 15 heures et qu’ils réussissent un examen dont la note de passage est de 75 %.

4. Les véhicules utilisés pour conduire avec Uber sont inspectés annuellement.

Les chauffeurs qui offrent des services de transport par l’entremise de l’application Uber utilisent leur véhicule personnel. Pour être admissible, ce dernier doit être équipé de quatre portes et ne pas être âgé de plus de neuf ans. « Le véhicule est inspecté annuellement par un garage autorisé par la SAAQ, ajoute Jonathan Hamel. Si des réparations s’avèrent nécessaires, le conducteur doit démontrer qu’elles ont été effectuées. »

5. Les chauffeurs et les passagers doivent porter le masque.

Même avant que le gouvernement québécois l’exige, Uber a requis le port du masque pour tous les utilisateurs de son application. En plus d’avoir distribué 400 000 masques aux chauffeurs du Québec, l’entreprise a implanté deux mécanismes pour assurer le respect de cette consigne. « Avant de passer en ligne, un chauffeur doit prendre un égoportrait, et la plateforme confirme le port du masque, explique le gestionnaire. À l’arrivée, un sondage demande également au passager si leur chauffeur portait son masque en tout temps, et vice-versa. »

6. Chaque passager peut partager son itinéraire Uber à ses proches.

La plateforme permet d’envoyer un texto avec lien de suivi à des membres de sa famille ou à des amis. Ceux-ci n’ont qu’à cliquer pour visualiser, en temps réel, le déplacement du véhicule, une fonctionnalité particulièrement rassurante après la fermeture des bars ou du métro. « Les proches peuvent ainsi prévoir l’heure d’arrivée de cette personne ou savoir que celle-ci s’est rendue à destination en sécurité », fait valoir Jonathan Hamel.

7. Uber aide à prévenir l’alcool au volant.

Depuis 2017, Uber collabore avec l’organisme MADD Canada (Les mères contre l’alcool au volant) pour aider à prévenir la conduite avec facultés affaiblies. « Plus il y a d’options de transport, moins il y a de risques que les gens prennent le volant après avoir consommé de l’alcool », résume Jonathan Hamel.

Embarquez avec Uber

Uber aide à freiner la COVID-19

Uber a répondu à l’appel lancé au secteur privé par le gouvernement du Québec pour prendre part à l’effort collectif contre la pandémie. En partenariat avec le Consortium COVID Québec, des courses gratuites vers les centres de vaccination ont été offertes aux travailleurs du milieu de la santé, aux aînés et à des gens dans le besoin. L’entreprise a également collaboré avec le gouvernement du Canada pour relayer de l’information concernant la vaccination.

Découvrez l'approche en matière de sécurité d'Uber