
REM de l’Est Les gares sont aussi importantes que les rails
La beauté avec le REM de l’Est, c’est que les erreurs de son grand frère de l’Ouest n’ont pas encore été commises.
La beauté avec le REM de l’Est, c’est que les erreurs de son grand frère de l’Ouest n’ont pas encore été commises.
La grogne et la mobilisation grandissent dans le dossier de l’industrie minière au Québec, et ce, pour d’excellentes raisons.
En ce début d’année, l’absence d’élections depuis 2016 fait en sorte que les 10 derniers sénateurs élus ont terminé leur mandat. Il n’y a donc plus aucun élu en Haïti en ce moment. Il s’agit d’un vide politique qui donne le vertige.
En réponse à la lettre de la directrice de l’Observatoire des tout-petits, « Tout-petits migrants : prêts pour la maternelle ?1 », publiée le 25 janvier
Pour s’endormir en douceur, les enfants réclament souvent leur livre préféré. Même si ça peut parfois paraître lassant de relire sans cesse le même livre, le parent ne peut qu’être encouragé de répéter l’expérience sachant tous les bienfaits de ce moment partagé avec son enfant.
Seriez-vous vraiment meilleur au boulot si votre patron notait votre travail en pourcentage toutes les semaines et comparait sans cesse vos notes à celles de vos collègues ?
La démission de la première ministre de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, m’a ému.
Il n’y a pas de bonnes solutions à la crise ukrainienne. Mais il y en a des mauvaises. Ne pas armer le pays de Volodymyr Zelensky à la hauteur du défi qu’il doit surmonter en serait une.
S’adressant à Boucar Diouf, l’auteure propose une tout autre définition de « péter au frette » que celle du chroniqueur dans son texte du 21 janvier, « On pète de moins en moins au frette »1.
Xavier aura 5 ans l’automne prochain. Au cours du mois de février, ses parents devront l’inscrire à la maternelle. Xavier a hâte parce qu’à son CPE, on lui a parlé de la maternelle et on a fait plein d’activités pour s’y préparer.
Les 13 éditions de Bell Cause pour la cause ont contribué à réduire la stigmatisation et l’autostigmatisation, tout en donnant le courage à de nombreuses personnes de demander de l’aide. C’est tout un accomplissement, mais les tabous contribuent encore à réduire de 10 à 25 ans l’espérance de vie des personnes vivant avec un trouble de santé mentale (1).
Aujourd’hui commence à Québec un évènement de trois jours où sont conviées plus de 850 personnes ainsi que de nombreuses personnalités du milieu de la santé et de la société civile. Cette première édition du Sommet de la santé durable me permet d’aborder, une nouvelle fois, l’importance que notre système de santé devrait consacrer à la prévention. Nous souhaitons réunir des voix de plusieurs milieux et disciplines afin de valoriser la prévention et la promotion de la santé. Ainsi, des défenseurs de la santé collective se réunissent pour proposer conjointement ce premier Sommet.
Le plus embêtant avec la défense du premier ministre François Legault dans les contestations judiciaires des lois 21 et 96, c’est qu’il réclame non pas le droit de les défendre, mais qu’il veut être le seul à pouvoir en parler.
Il n’y a pas beaucoup de spécialistes de l’enseignement du français qui sont tombés en bas de leur chaise en découvrant les récents résultats à l’examen de français écrit de 5e secondaire.
Sans surprise, l’éditorial de Philippe Mercure1 publié le 22 janvier sur les bagarres au hockey a suscité de nombreux commentaires de nos lecteurs, une majorité dénonçant cet aspect du sport. Voici un aperçu des courriels reçus.
En réponse à la lettre de Maria Lily Shaw de l’Institut économique de Montréal sur l’assurance duplicative en santé1, publiée le 20 janvier
Tout d’abord, mes plus sincères condoléances aux membres de la famille Bourassa. Je tiens aussi à les remercier de leur courage, celui de lever le drapeau rouge sur une situation à décrier : le manque d’accès aux soins palliatifs.
Le destin tragique de Fritznel Richard, à quelques jours de Noël, a remis en lumière la profonde vulnérabilité que vivent les personnes migrantes qui parviennent jusque chez nous.