
Budget de Québec Nos déficits fantômes
« Cinq, quatre, trois, deux, un… Zéro ! » Le ministre des Finances a lancé le décompte du retour à l’équilibre budgétaire d’ici cinq ans, lors du dépôt du budget mardi. Et c’est tant mieux.
« Cinq, quatre, trois, deux, un… Zéro ! » Le ministre des Finances a lancé le décompte du retour à l’équilibre budgétaire d’ici cinq ans, lors du dépôt du budget mardi. Et c’est tant mieux.
De nombreux lecteurs ont commenté l’entrevue qu’a accordée l’ancien ministre de la Santé Gaétan Barrette à notre éditorialiste Alexandre Sirois, publiée dans la section Contexte du 19 mars1.
Je suis travailleuse sociale psychothérapeute en santé mentale jeunesse dans un CLSC, perdu dans un mastodonte qui s’appelle un CIUSSS.
Grand-oncle d’une des victimes de l’incendie dans le Vieux-Montréal, l’auteur craint d’autres catastrophes du genre devant le laxisme des autorités à faire respecter les lois et règlements en matière d’hébergement
Ces trois mots, ces trois lieux me hantent depuis qu’on n’arrive pas à mettre du sens dans ces huit morts absurdes, autour de la perte de ces hommes, femmes, enfants, de tous les innocents gravement blessés, des familles et des proches meurtris à jamais par ce manque immense. Des dizaines de personnes touchées de près, des centaines de plus loin qui se demandent, en vain : mais pourquoi ?
Vingt ans séparent les décisions irréfléchies prises par George W. Bush en 2002 qui mèneront quelques mois plus tard à l’invasion de l’Irak et celles, judicieuses, prises en 2022 par Joe Biden qui pousseront les États-Unis à réagir vigoureusement à l’invasion de l’Ukraine.
Nous sommes un Collectif de fondations qui fédère 17 fondations philanthropiques mobilisées autour d’une préoccupation commune pour les inégalités au Québec, et animées d’une volonté de contribuer à les réduire.
Est-ce que les contenus francophones que produit le Québec, qu’ils soient culturels ou scientifiques, sont bien visibles ? Est-ce que les créations d’ici trouvent leurs publics et les publics, les créations ? Comment soutenir la résilience d’une société francophone en Amérique du Nord ?
Avant la fin de l’année, les visites alternées entre les premiers ministres de France et du Québec reprendront et cette rencontre qui se tiendra à Québec représentera une occasion à saisir. Souhaitons qu’elle marquera le coup d’envoi d’une véritable contre-offensive francophone et internationale.
Un des plus grands succès du néolibéralisme, cette réaction de droite à l’émergence de l’État providence, est d’avoir réussi à tout ramener à l’individu. L’État n’est plus la solution, il est le problème, affirmait Ronald Reagan.
La presse fait largement écho au rapprochement entre l’Arabie saoudite et l’Iran sous l’égide de la Chine. Plusieurs analystes y voient un autre signe de la montée en puissance de la Chine et du déclin des États-Unis, notamment au Moyen-Orient. Derrière cette initiative de Pékin, l’énergie est vraisemblablement l’une des principales motivations.
« La géographie a fait de nous des voisins. L’histoire a fait de nous des amis. L’économie a fait de nous des partenaires. Et la nécessité a fait de nous des alliés... Ce qui nous lie est de loin supérieur à ce qui nous divise. » Ces mots sont ceux du président américain John F. Kennedy et ils ont été prononcés lors du discours qu’il a tenu au parlement canadien le 17 mai 1961. Les paroles de Kennedy, qui sont depuis inscrites à l’entrée de l’ambassade des États-Unis à Ottawa, demeurent toujours pertinentes aujourd’hui.
Au moment où les enjeux de santé mentale se font sentir plus que jamais au Québec, la ligne d’écoute de nuit d’Interligne se voit menacée. À moins de recevoir des réponses positives aux nombreuses demandes de financement effectuées, notre organisme sera contraint de fermer ce service le 31 mars prochain.
En écho à l’article de Denis Soulières, « La santé du temps en oncologie », publié le samedi 11 mars1.
Nous sommes trois mères aimantes et battantes pour nos enfants qui ont une déficience intellectuelle. Trois mères terrifiées devant l’avenir, résolument en colère face à l’invisibilité chronique de nos enfants. Et forcées d’espérer une révolution.
Dans La Cité des enfants perdus, film à l’ambiance punk vaporeuse sorti en 1995, Krank, un antihéros issu d’expériences génétiques, est incapable de rêver. Afin de ne pas vieillir prématurément, ce dernier met au point un savant (et terrible) dispositif pour accaparer les rêves des enfants de la ville…