En ces temps de grande volatilité, les entreprises doivent pouvoir compter sur des firmes bien établies qui les aident à prendre de meilleures décisions. Depuis 25 ans, Aon soutient l’économie québécoise en plaçant son expertise au service des organisations d’ici dans les domaines de la gestion du risque, de la santé et des avantages sociaux et régimes de retraite. Premier francophone à la tête de cette firme au pays, Stéphane Lespérance explique comment Aon peut accompagner les entreprises québécoises à tirer leur épingle du jeu dans un contexte mondial plus qu’incertain.

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Voir le risque autrement

La dernière décennie a amené son lot de nouvelles formes de volatilité qui posent plusieurs défis aux entreprises. « Il ne s’agit plus de traverser une seule tempête, mais une succession de zones de fortes turbulences », illustre Stéphane Lespérance, dont la firme conseille les organisations au Canada depuis 165 ans. « Auparavant, on parlait surtout de risques liés à des éléments physiques touchant les biens plus tangibles, par exemple des dommages physiques des bâtiments, causés par des incendies ou un effondrement. Maintenant, on se dirige de plus en plus vers des risques affectant des aspects intangibles, comme la pandémie, la cybersécurité, le ralentissement économique ou la rupture de la chaîne d’approvisionnement, en plus des risques physiques, qui sont toujours présents. Dans la catégorie des risques accrus, on note une recrudescence des catastrophes naturelles, conséquence directe du réchauffement climatique. »

Devant ce constat, le président d’Aon Canada estime que les organisations ont à revoir leur gestion du risque. « Chaque jour, les organisations québécoises doivent prendre des décisions cruciales malgré l'absence d'information complète. Les meilleures décisions se prennent lorsque le contexte est entièrement connu, souligne-t-il. Nos conseils et nos analyses approfondies procurent la clarté dont elles ont besoin pour protéger leur entreprise et assurer leur croissance. »

Le statu quo ne peut plus exister. Les entreprises en prennent conscience et sont appelées à choisir entre les risques auxquels elles souhaitent être exposées et ceux dont elles veulent se protéger. Pour y parvenir, elles doivent s’appuyer sur les outils nécessaires.

Stéphane Lespérance, président, Aon Canada

De nouveaux enjeux critiques

La cybersécurité figure parmi les enjeux critiques pour les entreprises québécoises, et ce, tant pour leurs activités que pour leur réputation. Plusieurs défis d’un genre nouveau s’imposent à elles, sans qu’elles soient bien outillées. « Nous avons créé un outil de diagnostic sur la sécurité informatique en huit étapes. Le résultat vient souligner les différents points de vulnérabilité de l’entreprise sous la forme d’un rapport, qui fournit des points de comparaison avec d’autres organisations du même secteur », détaille Stéphane Lespérance. Ainsi, en identifiant les failles de sécurité, les conseillers d’Aon sont en mesure de développer des polices d’assurance en fonction des besoins de leurs clients.

Assurer la pérennité de la main-d’œuvre

Dans un monde du travail en pleine mutation, les organisations sont appelées à définir et entretenir leur culture d’entreprise.

Les dirigeants cherchent différents moyens de ramener les travailleurs au centre-ville. Je crois qu’il faut avant tout définir un but clair qui va mobiliser les troupes à le faire. À l’interne, nous nous activons à implanter un programme de jumelage sur une base à temps partiel, les nouveaux employés côtoient des coéquipiers plus expérimentés pour voir comment parler à un client, comment les aider à développer un marché, etc., pour un meilleur transfert des connaissances.

Stéphane Lespérance, président, Aon Canada

L’implication communautaire est également une facette importante de la culture d’entreprise et un facteur de motivation pour les employés. « En plus de servir nos clients au quotidien, nous soutenons de nombreuses causes comme Fillactive, Centraide, le Grand défi Pierre Lavoie, Jeunesse J’écoute et Dia-Beat it! C’est important pour nous de faire partie de la collectivité locale », ajoute-t-il.

Innover pour mieux accompagner

Avec les soubresauts actuels de l’économie, l’accès au capital devient un enjeu primordial pour les entreprises. Encore une fois, la culture d’innovation d’Aon peut se révéler fort utile. « Nous avons créé un produit qui s’appuie sur la propriété intellectuelle liée à des brevets. Notre outil permet de quantifier leur valeur et de les monnayer sous forme de garanties, ce qui donne aux entreprises qui n’ont pas nécessairement accès à des prêts standards la chance de libérer des fonds », résume Stéphane Lespérance.

Pour développer encore plus son caractère innovant, l’entreprise a aussi mis en place la gestion déléguée des placements au service des caisses de retraite aussi connu sous Outsourced Chief Investment Officer (OCIO).

Dans le contexte actuel, les fiduciaires des régimes de retraite font face à plusieurs décisions stratégiques difficiles. On a maintenant un outil qui permet une meilleure administration des fonds, une meilleure gouvernance tout en offrant des rendements accrus.

Stéphane Lespérance, président, Aon Canada

Pour découvrir comment votre entreprise peut prendre de meilleures décisions, consultez le site web d’Aon.

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