Les conclusions d’un récent rapport d’IG Gestion privée de patrimoine — une division d’IG Gestion de patrimoine — jettent un éclairage nouveau sur les préoccupations et les priorités des ménages à valeur élevée au Canada. Comment les Canadiens disposant d’au moins 1 million de dollars à investir souhaitent-ils transmettre leur richesse à leurs enfants ? Zoom sur 5 données évocatrices.

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1. 77 % des parents fortunés souhaitent aider leur enfant à « prendre de l’avance » dans la vie.

L’un des principaux constats qui se dégage du rapport Une affaire de famille : rapport sur les Canadiens fortunés et le transfert de patrimoine, c’est qu’une majorité de Canadiens en bonne situation financière souhaitent aujourd’hui transférer leur patrimoine de leur vivant, en plus du transfert successoral qu’ils prévoient. Ils veulent ainsi donner un coup de pouce financier à la jeune génération pendant qu’elle est dans la fleur de l’âge.

Carl Thibeault, vice-président principal Québec à IG Gestion de patrimoine, attribue cette volonté à l’accroissement de la longévité : « On vit plus longtemps qu’auparavant, et le désir de léguer une partie de sa richesse de son vivant est plus présent qu’avant. » Le hic, comme l’explique le dirigeant de la société d’investissement, c’est que cette longévité accrue complexifie aussi la planification du transfert patrimonial.

Avant d’être généreux, il faut s’assurer d’avoir suffisamment d’argent pour assurer ses besoins jusqu’à un âge beaucoup plus avancé.

Carl Thibeault, vice-président principal Québec à IG Gestion de patrimoine

2. 86 % des personnes interrogées prévoient soutenir financièrement les études postsecondaires de leurs enfants.

Au pays, une vaste majorité de familles prospères comptent allonger au moins 35 000 $ pour les études collégiales ou universitaires d’un enfant. « Ce qu’on remarque aussi, c’est que les grands-parents se mettent de la partie, souligne Carl Thibeault. Il n’est plus rare de voir des grands-parents investir dans un régime enregistré d’épargne-études pour leurs petits-enfants. »

3. Les particuliers à valeur élevée donnent en moyenne 145 000 $ à chacun de leurs enfants pour l’achat d’une maison.

Devant la flambée des prix en immobilier, les parents qui en ont les moyens ne semblent pas hésiter à délier les cordons de la bourse pour aider leurs enfants à accéder à la propriété. Contribuant en moyenne à 145 000 $ par enfant pour l’achat d’une maison, les parents canadiens se montrent particulièrement généreux. « L’étude dénote aussi la volonté des parents de faire preuve d’équité quant au soutien financier fourni aux membres de la fratrie, et cela est particulièrement vrai au Québec », fait remarquer Carl Thibeault.

4. 30 % des ménages à valeur élevée ont fourni (ou seraient prêts à fournir) du capital pour aider leurs enfants à démarrer une entreprise.

Les jeunes adultes désireux de se lancer en affaires trouvent une oreille favorable chez leurs parents fortunés. L’étude commandée par IG Gestion privée de patrimoine révèle que plus le niveau de richesse est élevé, plus les Canadiens sont à l’aise de soutenir financièrement l’aventure entrepreneuriale de leur fils ou de leur fille.

5. Devant cette grande générosité, certains répondants craignent d’en faire trop ou d’enrichir indûment les jeunes générations.

« Trop gâter les enfants est une préoccupation fréquente de la clientèle aisée, observe Carl Thibeault. En réalité, les gens sont avant tout soucieux de léguer à leurs enfants de bonnes valeurs. » Lorsqu’ils accompagnent cette clientèle, les conseillers ont pour rôle de clarifier les objectifs financiers du particulier à valeur élevée : « La planification financière et la planification successorale sont les deux grands morceaux à équilibrer dans la gestion du patrimoine de ces clients. »

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