Avez-vous entendu parler des Zoobox du Vertendre, des chalets écologiques, contemporains et ludiques offrant des options de type « clés en main » ? Situées à Eastman sur un territoire protégé de quelque 400 hectares (plus de 40 millions de pieds carrés) de forêt, ces habitations sont entourées de sentiers, de lacs et de ruisseaux, le tout au pied du mont Orford.

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Les Zoobox connaissent un réel succès depuis leur lancement, en 2011. Aujourd’hui, plus de 60 nouveaux terrains répartis dans trois municipalités s’ajoutent à l’offre pour les amoureux de la nature qui sont à la recherche d’un endroit leur permettant de s’évader ou s’adonner au télétravail, un concept de plus en plus populaire en contexte de pandémie. En plus d’Eastman, les villages de Potton, en Estrie, et de Port-au-Persil, dans la région de Charlevoix, ont été judicieusement choisis pour accueillir les futurs propriétaires de Zoobox.

Le but premier de ce projet immobilier : créer des chalets en parfaite harmonie avec l’environnement qui les borde, et ce, dans le respect de cette même nature. En acquérant leur propre sanctuaire en forêt où ils peuvent se cacher du monde, souffler un peu et se retrouver en famille, les amateurs de grands espaces seront choyés, tout en profitant d’un service de location expressément pensé pour eux.

Modulables en fonction de chaque client

Le mot d’ordre de cette nouvelle génération de Zoobox ? La flexibilité. « Au fil des années, nous avons recueilli tous les commentaires des gens et ajusté notre offre en fonction de leurs besoins différents », souligne Alain Chagnon, concepteur du projet. « Avoir une chambre de plus, c’est maintenant possible; l’avoir dans cinq ans seulement, ce l’est aussi. Nous pouvons adapter le bâtiment selon les besoins présents et futurs de chaque client », ajoute-t-il.

Alors que les premiers modèles de Zoobox étaient de style « microlofts », les nouveaux seront plus grands, avec deux chambres fermées pour plus d’intimité. Ils conservent néanmoins tout leur aspect ludique à l’intérieur, soit le mur d’escalade, le bain à roulettes déplaçable sur le balcon et la « roue de hamster » pour humain génératrice d’électricité, auxquels s’ajoute notamment un jeu de Lite-Brite géant.

La flexibilité se trouve aussi du côté des terrains et de l’environnement, puisque chaque chalet est bâti avec l’idée qu’il puisse s’adapter à ce dernier. D’un point de vue écologique, les Zoobox, débranchés du réseau électrique et alimentés par des panneaux solaires, se caractérisent par une consommation d’énergie encore plus efficace, et leur accès se fait toujours à pied. « Le véhicule est laissé à l’entrée; nous nous occupons des bagages pour vous, et l’expérience commence dès que vous marchez dans le sentier vers votre Zoobox, affirme M. Chagnon. L’harmonie entre l’humain et l’environnement reste notre priorité. »

Voilà d’ailleurs pourquoi le concepteur a choisi le site d’Eastman à la base, et maintenant ceux de Potton et de Port-au-Persil : « C’est impossible de ne pas tomber amoureux de Port-au-Persil ! lance-t-il. C’est un endroit boisé de très grande qualité, sur le bord du fleuve, pas très loin de Saint-Siméon, des parcs nationaux, de la Route des saveurs... » Il poursuit : « Même chose pour Potton, qui se trouve très centralisé par rapport aux monts environnants — Jay Peak, Owl’s Head, Sutton, Orford… —, au cœur d’environ 200 km de sentiers, avec la rivière Missisquoi de l’autre côté de la rue qui permet de faire du canot et du kayak. »

Une gestion assurée de A à Z

Toute la gestion de l’entretien du bâtiment est incluse, qu’il s’agisse du ramonage de la cheminée, de la peinture, du nettoyage des dalles et du déneigement, et plus encore. Le propriétaire peut aussi choisir de louer son Zoobox sur une période précise afin d’obtenir des revenus pouvant atteindre jusqu’à 30 000 $ par année; une très bonne façon de rentabiliser son investissement lorsqu’il n’est pas présent.

Encore une fois, la location peut être totalement prise en charge par l’équipe d’Alain Chagnon : « Certains vont y aller juste pour le télétravail — oui, le Wi-Fi est toujours des plus fonctionnels —, puis le louer aux autres moments pour en retirer un revenu, tandis que quelques-uns vont y habiter à longueur d’année. Ça permet d’avoir un pied à terre tout en aidant à le payer en le louant, si désiré. En plus, nous nous occupons de tout; le propriétaire n’a pas ce stress à gérer, ce qui est plus que bénéfique en ces temps incertains. » Plusieurs options s’offrent aux propriétaires pour leur assurer de trouver la formule qui correspond le mieux à leurs attentes; informez-vous.

Séduit à l’idée de devenir propriétaire d’un tel havre de paix ? Vous n’êtes pas seul !

Les réservations débuteront à partir du mois de janvier.

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