Intrépide et passionnée, Marianne St-Gelais est toujours à la recherche de nouveaux défis. Depuis que l’ancienne patineuse de vitesse a accroché ses patins, elle quitte aussi souvent que possible la ville pour marcher en pleine nature.

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L’éclosion d’une nouvelle passion

Quand Marianne St-Gelais voyageait à travers le monde pour les compétitions de patinage de vitesse, elle aimait bien, quand son horaire le permettait, partir à pied à la découverte du pays visité. « C’est toutefois assez récent que la randonnée fasse partie de mes habitudes régulières, raconte-t-elle. Pour le moment, j’explore surtout les environs de Montréal, et mon chien Robin m’accompagne souvent. Je voudrais éventuellement avoir l’occasion d’aller sillonner des sentiers de la Gaspésie. »

Bouger dans le plaisir

Même si elle a pris sa retraite de la compétition, pas question pour Marianne St-Gelais d’arrêter de bouger. Pour cette jeune femme débordante de vie, la randonnée représente donc une nouvelle façon de faire de l’activité physique, sans devoir se rendre dans un gym. « J’y vais à mon rythme et je ne veux pas que cela devienne un entraînement. C’est vrai que j’aime quand le niveau de difficulté est plutôt élevé, mais je veux me laisser le droit de ralentir la cadence quand je le souhaite pour contempler le paysage et prendre des photos. Je ne me mets donc aucune pression de performance. »

Miser sur la planification

De bonnes chaussures de marche, de l’eau en quantité suffisante et une petite trousse de premiers soins : voilà ce qui constitue son équipement de base quand elle prend d’assaut une montagne. Et, peu importe la durée prévue de son escapade, elle apporte aussi toujours un lunch consistant. « Souvent, à partir d’un filet de porc coupé finement, je me fais des wraps, une formule aussi facile à transporter qu’à manger sur le pouce, peu importe où je suis. »

Pour que l’énergie soit au rendez-vous

En raison de ses nombreuses années d’expérience comme athlète de haut niveau, Marianne est consciente de ce que son corps a besoin pour avoir de l’énergie. « La nourriture que je consomme est non seulement mon carburant, mais aura également une influence sur la façon dont je vais récupérer après l’exercice. Si les glucides vont me donner l’élan de départ pour attaquer l’ascension le matin, il me faut des protéines pour éviter les baisses d’énergie durant la journée. »

Protéines de qualité

Nutritionniste spécialisée en accompagnement des sportifs, Mélanie Olivier confirme que Marianne St-Gelais fait un choix éclairé en misant sur la viande de porc lors de ses sorties en plein air. « On croit à tort que les athlètes doivent prendre des suppléments pour combler leurs besoins en protéines, alors qu’il est possible d’y parvenir grâce à une alimentation équilibrée, explique-t-elle. Le but est surtout de s’assurer d’un apport constant tout au long de la journée. Les protéines demandent un temps de digestion un peu plus long. C’est ce qui fait que ça nous donne une sensation de satiété. Elles contribuent par ailleurs au maintien de la masse musculaire et à une bonne récupération après une séance de sport, comme une journée de randonnée. »  La nutritionniste soutient que si une alimentation régulière devrait suffire à une personne active, l’apport en protéines pourrait tout de même devoir être augmenté pour une personne qui vise à prendre part à un triathlon ou à de longues sorties à pied ou à vélo.

L’importance de l’alimentation

« Quand j’étais athlète professionnelle, c’était important de donner de bons aliments à mon corps pour qu’il performe. J’ai gardé cette philosophie, car je veux être en santé le plus longtemps possible. Avec le porc du Québec, je suis en confiance : en plus des nutriments qu’il me procure, il s’agit d’un produit local, un aspect auquel j’accorde beaucoup d’importance », fait valoir Marianne St-Gelais.

En cuisine, Marianne apprécie la simplicité en cuisine : « Quand j’aime une recette, je ne me lasse jamais de la faire! Je suis d’ailleurs rendue experte dans la cuisson du filet de porc, lance-t-elle en riant. Je parviens à une cuisson parfaite, tout juste rosée. J’apprécie vraiment le goût de cette viande. Je la fais donc parfois mariner, mais je la prépare plus souvent telle quelle. Et au-delà d’un souper, la quantité de viande que j’obtiens me permet de non seulement préparer des sandwichs, mais aussi d’en incorporer à mes salades, avec des tomates, des poivrons ou autres légumes que j’ai sous la main, ou encore d’en faire des croque-monsieur. »

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