Il y a environ un mois, notre photographe s’est rendu à Tadoussac pour une croisière aux baleines de fin d’été. Malgré un épais brouillard, il a rencontré des gens très heureux de vivre cette expérience et pris d’impressionnants clichés.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Qu’importe si la croisière aux baleines est le prétexte ou la raison principale d’une visite à Tadoussac, les voyageurs sont généralement fort heureux de ce qu’on trouve sur la terre ferme ou en mer. Les paysages côtiers des environs justifient de se rendre jusqu’aux quais de la baie.

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Au Centre d’interprétation des mammifères marins, on apprend que Piper fut la première baleine noire suivie par émetteur satellite. Son histoire marquante révélée par le Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins (GREMM) met en lumière tous les dangers qui guettent ces géants de la mer. L’étude approfondie révéla qu’elle avait survécu à une collision avec un bateau et traîné une cage à crabe et son cordage pendant deux ans. Malgré tout, Piper eut deux petits au cours de sa vie. La cause exacte de sa mort reste un mystère.

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Pour ceux qui préfèrent la tranquillité, la croisière du matin semble moins courue que celle du début de l’après-midi, et offre ainsi plus d’espace entre les différents points d’observation. En revanche, le brouillard se dissipe généralement au cours de la journée.

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Ce petit rorqual s’est approché à seulement quelques dizaines de mètres du bateau. Il était suffisamment près pour offrir une bonne image et ainsi révéler une imposante cicatrice sur l’un de ses flancs. Les guides à bord du bateau attribuent cette blessure à un engin de pêche et son cordage.

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À l’approche du bateau, une magnifique volée de cormorans est allée disparaître au large dans l’épais brouillard.

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Un phoque gris plus aventureux a surgi à seulement quelques mètres du bateau avant de replonger pour se nourrir.

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L’écran radar est un bon moyen de se familiariser un peu avec l’espace que nous fait découvrir le Grand Fleuve. Outre la météo, il permet de mieux comprendre la topographie des fonds marins et aussi de tenter de prédire où pourraient se trouver les attroupements de mammifères marins en fonction des signalements des autres embarcations dans le secteur.

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Margaux Bedel habite au Québec depuis deux mois. Elle a profité de la fin de semaine pour faire la route depuis Lévis et offrir à ses deux enfants cette belle expérience sur le Saint-Laurent.

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Le phare du Haut-Fond-Prince était sans doute au sommet de sa beauté dans ce brouillard épais. Construit en 1964 sur un des hauts-fonds les plus dangereux du Saint-Laurent, la « toupie » se situe à environ 7 km de Tadoussac.

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Après quelques heures au large dans la brume, le soleil est finalement venu réchauffer les croisiéristes à la recherche d’un tableau spectaculaire pour un dernier selfie. Mola Delveille, de la région parisienne, aura un beau souvenir de vacances.

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Deux phoques et un petit rorqual nageaient côte à côte à la fin de la croisière de l’après-midi.

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