Se déplacer dans la ville

Pendant le Festival d'été, il est fortement conseillé de garer le véhicule pour la journée et de profiter ensuite de la proximité des lieux pour découvrir le coeur de la ville à pied. Pour les gens de l'extérieur, la navette estivale 400 (RTC), qui donne accès au centre-ville, à la promenade Samuel-de-Champlain et aux représentations du spectacle Les chemins invisibles, est recommandée. En activité tous les jours, elle peut être empruntée moyennant un coût à peine plus élevé que le tarif régulier (environ 3$). Des stationnements incitatifs, situés aux deux extrémités du trajet (sur l'avenue des hôtels près du Parc aquarium du Québec et au Parc-O-Bus d'Estimauville), sont mis à la disposition des usagers.

Se loger

Quand il s'agit d'hébergement, une multitude de possibilités s'offrent au visiteur qui souhaite passer quelques jours dans la capitale. Le site de l'Office du tourisme (www.quebecregion.com) s'avère un outil de recherche efficace qui peut aiguiller vers le produit satisfaisant. «Il y en a pour toutes les clientèles. On trouve plusieurs campings dans la région, des hôtels plus abordables sur le boulevard Laurier, ainsi que des hôtels plus luxueux comme le Hilton ou le Château Frontenac», indique le directeur général du Festival d'été, Daniel Gélinas. On peut aussi faire quelques trouvailles comme le nouvel hôtel Pur, dans Saint-Roch, ou Le Priori, dans le Vieux-Port. Sans compter qu'on offre maintenant, dans certains établissements, dont le Hilton, des forfaits combinant nuitée, déjeuner et laissez-passer pour le Festival. Pour plus de détails, consultez la section «Forfaits» du site www.infofestival.com.

 

Se sustenter

La réputation des restaurants de Québec n'est plus à faire! Aux tables de grande renommée s'ajoutent constamment de nouvelles adresses, qui méritent qu'on y fasse le détour. La vinothèque Savini, au 680, Grande Allée Est, fait partie de celles-là. Situé dans l'immeuble de l'ancien Bonaparte, le resto italien au décor contemporain bénéficie de la touche personnelle du chef Vincent Chatigny, anciennement du Matto. La clientèle y est jeune et vibrante, l'ambiance branchée, et la nourriture savoureuse. Dans un tout autre registre, la Brûlerie Saint-Roch, au 375, rue Saint-Joseph Est, a rapidement gagné une clientèle de fidèles. Son vaste espace réparti sur trois étages, son service attentionné, sa connexion internet sans fil et, bien sûr, son caffè latte font le bonheur des habitués, qui s'y arrêtent pour dévorer journaux du jour et viennoiseries.