Air France fera voler, dès le 1er juillet 2020, ses avions au départ de San Francisco avec un mélange de conventionnel et de carburant dit « alternatif », produit à partir de résidus d’huiles et de graisses non comestibles, dans le but de réduire son empreinte carbone.

L’initiative — menée de concert avec Shell — devrait permettre de prévenir l’émission d’environ 6000 tonnes de CO2 en 16 mois.

Air France a promis de réduire de 50 % ses émissions de CO2 par passager par rapport à 2005, pour se situer sous la barre des 3 litres au 100 km par passager.