Si aucun Américain ne dépassait la dose maximale recommandée de sel, les bénéfices pour le pays seraient de 32 milliards US, conclut une étude du groupe de réflexion Rand.

Il s'agit essentiellement d'économies liées aux jours de travail perdus à cause de l'hypertension et des maladies cardiaques qui en découlent. La baisse de consommation nécessaire serait du tiers (la moyenne actuelle est de 3,4 g, alors que la quantité maximale recommandée est de 2,3 g).

Au Canada, où le taux de consommation de sel est similaire, les économies seraient de 3,2 milliards US.