On plonge le bout du nez, pour la énième fois, dans le tube de baume apaisant (Fortifying Face Balm) créé par Ursa Major, un renvoi à la constellation qui, grâce à l'étoile Polaire, a guidé les explorateurs dans leur conquête du Nord. Une odeur fraîche, botanique. Des huiles essentielles de bouleau, de lavande, de lime, de menthe verte et de romarin. Une brise venue des montagnes Vertes du Vermont, où sont fabriqués les soins du visage, à Stowe plus particulièrement. Irrésistible.
Le pari d'Ursa Major: s'immiscer dans le marché compétitif des soins naturels en visant une clientèle masculine. En 2010, Emily Doyle et Oliver Sweatman lancent une crème à raser (Stellar Shave Cream) au parfum épicé, dominé par des notes de gingembre, de vétiver et de sapin. Repérée par le magazine Esquire, elle est bientôt consacrée «crème à raser de l'année», avant de se retrouver au catalogue de J. Crew et dans les pages du Men's Health et de GQ.
En plus du baume pour le visage et de la crème à raser, Ursa Major compte aussi un nettoyant (Fantastic Face Wash) et un tonifiant (4-in-1 Essential Face Tonic). Une gamme composée de quatre produits, les soins de base pour une routine simple et efficace. Les concentrés sont composés de 98,5 à 100% d'ingrédients naturels, dont au moins la moitié est certifiée biologique. Un souci maintenu jusqu'à rendre fous ceux qui conçoivent les formules, selon la légende.
Ursa Major est offerte en ligne ainsi qu'à L'Apothicaire Want, à Westmount, et chez Rooney, dans le Vieux-Montréal.