Le créateur montréalais a présenté sa collection dans le cadre -inusité dirons-nous- d'un cargo amarré dans le Vieux-Montréal.

«Je me promenais dans le vieux port, et j'ai vu ce bateau, cela m'a tout de suite plu comme je me suis toujours inspiré des marins», explique Philippe Dubuc, aussi inspiré par le bédéiste Enki Bilal.Il faut entrer dans les étroits couloirs du bateau pour trouver, suspendus à des cordes, les morceaux phares de la collection hiver 2010-2011.

Les mordus de Dubuc ne s'étonneront guère de retrouver une grande domination du noir et du gris parmi eux: aussi, le mélange des matières chers à Dubuc est encore présent.

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