Pardonnez-moi le calembour facile. Je n'ai pu m'en empêcher. Toutes ces maisons de thé au nom douteux déteignent sur moi.

Hier soir, je suis allée prendre le thé (un grand Wulong) chez Camellia Sinensis avec Hugo Americi, un des quatre dégustateurs professionnels de la maison. Je voulais lui parler du livre que Camellia met au monde cette semaine: Thé - histoire, terroirs, saveurs. Et, plus précisément, de la quatrième partie du livre, intitulée «Le thé et la santé». Dans cette partie, Camellia Sinensis publie les résultats d'une analyse biochimique que la maison a financée elle-même et qui porte sur la concentration de caféine, la concentration de catéchines et le pouvoir antioxydant du thé. Les tests ont été réalisés par TransBIOTech, à Québec.

Le centre de recherche a analysé le contenu d'une trentaine d'infusions de thés différents (thés verts de Chine, du Japon, thés Wulong, thés blancs, thés noirs, thés Pu Er et Yerba mate).

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