En 2007, une étude britannique a établi un lien entre les colorants alimentaires et l'hyperactivité chez les enfants. Ces conclusions étaient assez préoccupantes pour convaincre les autorités anglaises de retirer du marché tous les colorants étudiés dans la recherche.

Ici, certains de ces colorants sont encore présents dans les aliments. Le problème, c'est que l'emballage ne le mentionne pas systématiquement. Le fabricant peut simplement inscrire «colorant».

Santé Canada est en train de réviser cette règle.

En attendant, mieux vaut se méfier des croustilles jaune fluorescent et des bonbons multicolores. La mauvaise presse des colorants alimentaires chimiques a toutefois convaincu certains fabricants de les remplacer par des colorants naturels, ce qu'ils affichent fièrement sur leurs emballages. On préfère.