Pour éviter les contrôles, des adresses anonymes sont disponibles, au risque de cautionner des choses plus graves.

Une loi sur le piratage, une autre sur la cybercriminalité : en renforçant le contrôle du Web, le gouvernement a toutes les chances d'encourager les internautes à se cacher. Pour quelques euros, des services comme Ipredator et Ipodah leur proposent de devenir invisibles. Au risque de faciliter des échanges de fichiers bien plus dangereux que des films ou des chansons.

Lire la suite sur rue89.com