Devant la levée de boucliers provoquée par une condition d'utilisation, Google a dû changer le texte de la licence d'utilisation de son nouveau fureteur.

Le texte original stipulait que Google était détenteur des droits de «tout contenu soumis, mis en ligne ou affiché sur ou via le fureteur».

Google devenait donc propriétaire de manière «perpétuelle» et «irrévocable» de tout ce qui était créé avec son fureteur, une condition qui en a choqué plusieurs.

Le géant de la recherche a expliqué qu'il réutilise ses licences d'utilisation d'une application à une autre «pour garder les choses simples» pour les utilisateurs.

«Parfois, comme dans le cas de Google Chrome, ça signifie que le texte légal pour un produit spécifique peut inclure des mots qui ne s'appliquent pas bien à l'utilisation de ce produit», dit Rebecca Ward, avocate chez Google.

Le texte amendé indique que les utilisateurs gardent les droits d'auteurs et les autres droits qu'ils détiennent en l'affichant avec le navigateur.