Michael Dell n'est pas chaud à l'idée de voir les gouvernements légiférer pour forcer les entreprises à recycler l'équipement informatique qu'ils mettent sur le marché.

Michael Dell n'est pas chaud à l'idée de voir les gouvernements légiférer pour forcer les entreprises à recycler l'équipement informatique qu'ils mettent sur le marché.

La Presse révélait ce matin que le gouvernement Charest veut publier un «projet de règlement cadre» dans les prochaines semaines afin que les entreprises soient forcées de reprendre tous les produits qu'ils vendent pour les recycler.

Interrogé à ce sujet à l'occasion de son passage dans la métropole, le fondateur de Dell a cité l'exemple du Japon où, dit-il, la réglementation est «floue».

«Je ne suis pas un grand partisan de ce type de réglementation», dit Michael Dell, qui n'aime pas que le gouvernement japonais lui dicte combien il doit dépenser pour recycler les appareils désuets.

«Mais nous sommes favorables à ce que les gouvernements collaborent avec les fabricants de PC pour le recyclage», dit Michael Dell.

Il précise que Dell offre déjà à tous les consommateurs de reprendre gratuitement leur appareil pour le recycler quand il arrive à la fin de sa vie utile.

À lire aussi:

- Pour une ère technologique plus écologique

- Michael Dell lorgne la Chine