De tous les fabricants d'appareils photo numériques, c'est sans doute Olympus qui s'est le plus illustré en 2007 en étant le premier à offir un téléobjectif à grossissement 18 X (équivalant à un 504mm en photo 35mm) sur un appareil compact, et, sur son reflex, une stabilisation d'image optique intégrée au boîtier et fonctionnant avec tous les objectifs à monture 4/3.

De tous les fabricants d'appareils photo numériques, c'est sans doute Olympus qui s'est le plus illustré en 2007 en étant le premier à offir un téléobjectif à grossissement 18 X (équivalant à un 504mm en photo 35mm) sur un appareil compact, et, sur son reflex, une stabilisation d'image optique intégrée au boîtier et fonctionnant avec tous les objectifs à monture 4/3.

Le bal a été ouvert au printemps avec le SP-550 UZ (7,1 Mp), suivi par le SP-560 UZ (8 Mp), mariant le puissant zoom à un grand angle de 28 mm avec stabilisation d'image et écran de 2,5 pouces.

Il n'a fallu que quelques mois pour que les concurrents - notamment Panasonic qui devait alors donner du tonus à ses Lumix - suivent le mouvement.

Olympus devait par ailleurs bonifier son reflex E-410 - l'un des plus intéressants pour aborder la photographie «sérieuse» - en puisant dans le meilleur des deux mondes et en incorporant dans son successeur, le génial Evolt E-510 à capteur de 10 Mp, un procédé de stabilisation, en plus de la visée directe sur l'écran de 2,5 pouces, jusqu'ici l'apanage des appareils numériques. L'ergonomie a également été un peu modifiée et la durée de la batterie allongée.

La force du dollar canadien a eu pour résultat que les Olympus automatiques sont maintenant à des prix de détail comparables à ceux en vigueur aux États-Unis, avec des garanties prolongées allant jusqu'à cinq ans. C'est ainsi que le SP-550 UZ est offert à 349 $, le SP-560 UZ à 499 $ et le E-510 avec objectif Zuiko Digital ED 14-42 mm à 679 $, ce qui, dans le dernier cas, en fait l'un des reflex numériques les moins chers.