Joseph Blatter, président de la FIFA, a indiqué à l'AFP que les Brésiliens «étaient fâchés mais ont bien réagi» aux critiques qu'il avait formulées en mars sur les retards pris pour l'organisation du Mondial 2014.

«Depuis, le nouveau gouvernement a signé tous les contrats en suspens», a-t-il ajouté. «Les stades ça va, les aéroports ne sont pas "assez internationaux", car quand on va au Brésil, on va à Sao Paulo, à Rio mais on ne connaît pas les autres villes».

«Les routes sont généralement bien car il y a beaucoup de transports de personnes par de grandes sociétés de bus allant d'une ville à l'autre, car il n'y pas beaucoup de chemins de fer», a-t-il encore noté.

«C'est un pays de tourisme, pour le logement ça va, et puis c'est un pays en plein boom économique. Et pour ce qui est de la fête, ça, alors, pas de problème !», a-t-il conclu.