Après Marc Savard, des Bruins de Boston, il y a quelques jours, Ian Laperrière, des Flyers de Philadelphie, est au repos forcé parce qu'il serait revenu au jeu trop tôt le printemps dernier à la suite d'une commotion cérébrale.

Dans une entrevue qu'il m'avait accordée après sa blessure, Laperrière avait pourtant juré qu'il ne mettrait pas sa santé en danger.

Dans une émouvante conférence de presse, Savard a admis souffrir de dépression, occasionnée par sa commotion cérébrale.

Dans certains cas, l'athlète cache ses symptômes à l'équipe parce qu'il veut revenir au jeu plus tôt. Dans d'autres, le club fait pression sur le joueur pour qu'il revienne aider l'équipe le plus rapidement possible.

Je ne sais pas où se trouve la solution. Mais la question devient très préoccupante. Trop d'athlète vivent un enfer à cause de ce fléau.

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