Les États-Unis semblent avoir compris que le corps d'un enfant de 11, 12 ans, son cerveau surtout, n'est pas assez formé pour encaisser les coups durs. Compris aussi que les jeunes sont tellement obnubilés par les mises en échec à cet âge-là qu'ils en oublient souvent de jouer au hockey.

Le directeur général de Hockey Québec, Sylvain Lalonde, ne peut que sourire ce matin...