Gaborik ne connaît pas une grande saison offensivement, seulement 18 buts, ce qui est nettement inférieur à ses standards, et il ne semble pas se plier aux exigences de son entraîneur John Tortorella, qui l'emploie au sein d'un quatrième trio depuis son retour au jeu.

On raconte dans le New York Post que Tortorella use de tous les moyens en privé pour motiver sa vedette, mais il n'est pas le plus grand diplomate. Il faudra pourtant trouver un moyen de le relancer puisqu'on lui a donné 33 millions sur cinq ans l'an dernier.