Les directeurs généraux de la LNH ont choisi de ne pas imiter la Ligue junior de l'Ontario, de sorte qu'ils ne proposent pas le bannissement des coups à la tête. Ils préfèrent renforcer les mesures pour sévir contre ceux qui frappent par derrière ou se rendent coupables d'assauts.

Bannir les coups à la tête aurait constitué la solution la plus simple. On maintient plutôt la zone grise. Qui fera encore des mécontents, qui engendrera encore la violence parce que les joueurs voudront se faire justice eux-mêmes. On ne règle pas le problème des commotions cérébrales.