Les équipes carburent souvent à l"émotion en séries éliminatoires. Normal, les corps sont épuisés, il faut trouver une source de motivation pour continuer à frapper et à se faire frapper malgré la fatigue. Ainsi, donc, la moindre déclaration peut avoir des conséquences désastreuses pour celui qui l'émet, et galvaniser l'adversaire. Roberto Luongo regrette sans doute d'avoir mis en doute le travail de Tim Thomas après le sixième match à Vancouver. Subitement, il s'imposait une pression supplémentaire dont il n'avait certes pas besoin...