L'ancien entraîneur associé du Canadien raconte ce matin à la chroniqueuse Helen Elliott, du Los Angeles Times, que les vols nolisés constituent ses pires souvenirs à titre d'entraîneur en chef en Russie (il fut le premier Canadien à coacher là-bas). Les vols commerciaux ne posaient pas un problème mais certains vols nolisés ne lui semblaient pas sécuritaire. King se souvient d'un appareil en particulier que les joueurs surnommaient Pterodactyl Air et qui rendait tout le monde un peu nerveux.

"J'adorais diriger mon équipe, mais j'avais toujours peur de prendre l'avion. La Russie est un grand pays. Parfois, on se demandait si l'appareil allait finir par s'envoler. Le décollage semblait durer une éternité. Quand il finissait par s'envoler, les joueurs en rigolaient."