Le président des Bruins a confié au Boston Globe préférer voir ses joueurs subir une séparation de l'épaule qu'une commotion cérébrale et il se demande ce qu'on attend pour imposer des équipements moins rigides.

On ne peut le contredire. Le jeu est devenu tellement rapide, les joueurs costauds. La dimension des patinoires peut-elle y changer quelque chose?

Ça ne règlerait pas tout, comme en témoigne cette mise en échec (légale) de Nicklas Kronwall au Championnat mondial. Ouch!