Dans le doute, je préfère suivre l'opinion des deux neurologues.

Pour l'instant, mes enfants ne sont pas exposés aux mises en échec puisque le premier joue en première année atome et le second est toujours pré-novice. J'aurai donc le temps d'y penser. Et à 12 ans, ils auront probablement l'option du soccer également, si les problèmes de commotions cérébrales ne sont pas réglés.

Au moins, le Québec est un endroit beaucoup plus sécuritaire pour nos jeunes que le reste du Canada.

Tous les détails dans mon article publié ce matin.