On affirme par exemple à Boston que les Sabres de Buffalo exigeraient un choix de deuxième ronde et un espoir en retour de l'ailier Chris Stewart. C'est le prix payé par Marc Bergevin l'an dernier pour Thomas Vanek.

Mais Stewart a seulement 22 points en 58 matchs, dont 9 buts, et une fiche de -30, la pire de la LNH. Il sera joueur autonome sans compensation à la fin de la saison.

On devine que le prix exigé pour Antoine Vermette est encore plus élevé. C'est un centre polyvalent qui a 35 point en 60 matchs et qui peut marquer plus de 20 buts par saison.

Les vendeurs ont beau jeu. Ils sont environ sept, tandis qu'une douzaine de clubs aspirent à la Coupe et la dizaine d'autre luttent pour une place en séries. Un club finira par mordre...