Pour les athlètes, les Jeux olympiques constituent un moment décisif. L’accomplissement d’un rêve. Mais pour les villes hôtesses, les Jeux tournent souvent au cauchemar financier.

Cette année, la ville de Tokyo n’y échappe pas. En choisissant de maintenir l’événement « coûte que coûte », malgré la pandémie, la capitale japonaise a vu exploser ses coûts(1). Des ennuis qui s’ajoutent au petit musée des horreurs olympiques, un endroit hanté par le mensonge, par l’argent facile, par les calculs foireux, par la corruption, par la triche et par une certaine indifférence envers les droits humains…

À quel moment l’organisation des Jeux d’été de Tokyo a-t-elle commencé à dérailler ?

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