La première chose qui frappe, c’est le sourire. Marco Rossi se branche sur Zoom, en début d’après-midi, et son sourire crève l’écran. On ne le connaissait pas comme ça.

Pendant ses deux années chez les 67’s d’Ottawa, il avait beaucoup de charisme... sur la glace. Dans ses brèves rencontres avec la presse, il n’était pas le type le plus chaleureux. On m’avait dit de ne pas le prendre personnel. Il avait quitté son Autriche natale pour jouer au hockey. Il ne voulait penser qu’à ça. La vie de Rossi a changé du tout au tout, dans les derniers mois.

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