(Toronto) La Ligue nationale de hockey et l’Association des joueurs (AJLNH) étant sur le point de ratifier une entente pour reprendre leurs activités dans les pôles d’Edmonton et Toronto, le premier ministre ontarien, Doug Ford, a défendu sa décision d’accueillir la LNH en pleine pandémie.

Ford s’est dit à l’aise avec le plan présenté par la LNH, même si la Colombie-Britannique a exprimé ses réserves vis-à-vis des mesures sanitaires qui ont finalement fait en sorte que Vancouver se soit retirée de la course.

Plusieurs médias rapportent que Toronto et Edmonton sont les choix de la ligue pour servir de pôles quand 24 des 31 équipes de la LNH reprendront le jeu plus tard cet été. La ligue espère lancer les camps d’entraînement dans ces 24 villes la semaine prochaine.

Sept villes américaines et trois canadiennes étaient candidates pour servir de pôle, mais les récents cas d’éclosion de COVID-19 aux États-Unis ont rendu plus intéressantes les candidatures canadiennes.

« Ils ont des règles très strictes pour les joueurs, a dit Ford au sujet de la LNH. Quand ils m’ont dit que les joueurs allaient être testés tous les jours, je ne suis pas un expert médical, mais il me semble qu’ils n’ont pas besoin de subir des tests quotidiens. Peut-être aux trois jours, je ne sais trop. Ils sont sévères avec les joueurs. Je pense que les gens souhaitent voir quelques matchs de hockey à la télévision. Je ne pense pas que ce soit trop mal. »