Il a beau travailler maintenant dans le domaine du cinéma, Alexandre Daigle se tient assez loin des feux des projecteurs de nos jours.

Quand Le Droit l’avait approché en octobre dernier pour faire un parallèle entre son expérience de premier choix au repêchage de la LNH par les Sénateurs d’Ottawa en 1993 et ce qui attendait Alexis Lafrenière à l’encan de cette année, il avait poliment décliné.

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