L'influent propriétaire des Bruins, Jeremy Jacobs, n'a jamais été un partisan du retour de la Ligue nationale à Québec. Il en a remis une couche, mercredi, en marge de la conférence de presse du bilan de fin de saison de l'équipe bostonnaise.

«Québec a de gros défis, et je suis gentil», a-t-il d'abord lancé, lorsqu'un journaliste lui a demandé pourquoi la ville était mise de côté lors des processus d'expansion. «Regardez le niveau de revenu, regardez la population. Il n'y a pas de marché plus petit. Ils devront se distinguer d'une autre façon.»

> Lisez le texte complet sur le site du Soleil